Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
Tson film sportif irlandais outsider, réconfortant et familier, ne s’écarte pas une seule seconde de sa durée de diffusion de la formule. Vous pouvez savoir exactement où cela va au moment où vous apercevez une équipe d’aviron féminine tapageuse en train de lancer des tirs pour célébrer une victoire rare – elles n’ont aucune chance d’atteindre la finale du tournoi. C’est un film si prévisible que vous pourriez probablement quitter la salle pendant 15 minutes sans rien manquer, mais il a un grand cœur et suffisamment de plaisanteries décontractées pour le rendre regardable. (Le dialogue est irlandais et les sous-titres anglais contiennent de nombreux irlandais divertissants : « Jésus-Christ, je ne suis pas complètement foutu ! »)
Kelly Gough incarne Aoife, une consultante en gestion à succès qui est revenue chez elle dans la petite ville de Kerry pour rendre visite à son père, Bear (Lorcan Cranitch) après une crise cardiaque. («Je dois presque mourir pour que tu viennes», dit-il, plus résigné qu’amer.) Aoife est fragile et émotionnellement distant avec Bear. Puis, un soir, au pub, presque par hasard, elle rejoint l’équipe féminine locale d’aviron. Mais pourra-t-elle diriger cette foule décousue – une mère de trois enfants épuisée, un acteur raté et un adolescent troublé mais doué – vers une victoire émouvante ?
Vous connaissez déjà la réponse à cette question. Pourtant, le film est réalisé d’une main ferme par Declan Recks, qui met judicieusement autant d’action dans le pub que dans le bateau à rames. L’équipe n’a pas gagné depuis des années. Sous la nouvelle direction d’Aoife, nous regardons leurs séances d’entraînement désespérées, les liens d’équipe, une victoire surprise en demi-finale et une finale épique. C’est doux et raisonnablement engageant, et le thème du dysfonctionnement familial est bien sous-estimé. Quand Aoife et Bear guérissent enfin de vieilles blessures, ce n’est pas avec un discours sentimental mais sur un bateau, Bear tend calmement à sa fille une roue de chariot en guise d’offrande de paix.