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L’exécutif régional de Catalogne lancera la semaine prochaine une grande campagne à Madrid et à Bruxelles pour promouvoir et défendre l’usage du catalan comme langue officielle dans l’Union européenne, a annoncé jeudi le président de la région catalane, Pere Aragonès.
« La semaine prochaine, nous entamerons un deuxième niveau dans cette offensive pour défendre le catalan comme langue officielle dans l’UE », a déclaré Aragonès à la presse après un événement organisé à l’Université de Bologne. Le périodique signalé.
Aragonès, qui a rencontré l’ancien président de la Commission européenne Romano Prodi à Bologne, a annoncé que le 12 octobre serait également la fête nationale espagnole.
La stratégie politico-linguistique, qualifiée par Aragonès d’« offensive », débute la semaine prochaine à Madrid, où Meritxell Serret, ministre régional de l’Action étrangère de Catalogne, rencontrera les ambassadeurs de l’UE en Espagne.
Parmi les revendications des partis séparatistes catalans pour soutenir la reconduction du Premier ministre par intérim Pedro Sánchez (PSOE/S&D), il y a celle de faire du catalan une langue officielle au Parlement du pays, ce qui a déjà été atteint ainsi que dans les institutions européennes, un objectif que Madrid s’est engagé à apporter son soutien, notamment financier.
Les séparatistes exigent également que Madrid donne le feu vert à un référendum sur l’autodétermination de la Catalogne, qu’il adopte une loi d’amnistie pour les personnes impliquées dans la tentative sécessionniste de 2017 et qu’il transfère davantage de pouvoirs à la région, notamment la gestion des trains de banlieue.
Une célébration « basée sur les armées »
Aragonès, du parti séparatiste de la Gauche républicaine de Catalogne (ERC), a annoncé que son gouvernement régional utiliserait son réseau de bureaux à l’étranger pour promouvoir la langue catalane, notamment à Bruxelles, avec l’aide du gouvernement central.
Le soutien de Madrid « est une reconnaissance de la singularité et de l’identité catalane », a déclaré Aragonès, qui estime le nombre de catalans à 12 millions.
D’autre part, il a expliqué son absence aux événements qui marquent la Fête nationale espagnole, car – selon lui – il s’agit d’une célébration « basée sur les armées » et sur la conception de « l’État espagnol avec une seule pensée, une seule langue et une seule langue ». une seule culture ».
Les célébrations du 12 octobre se sont déroulées dans une atmosphère hautement politisée en raison des négociations en cours entre le PSOE de Sanchez et les séparatistes catalans, dont le soutien parlementaire déterminera si le premier ministre par intérim restera au pouvoir pendant encore quatre ans – dans une coalition avec la plateforme progressiste Sumar. – ou si de nouvelles élections générales devront avoir lieu en janvier 2024.
À son arrivée aux célébrations de la Fête nationale, Sánchez a été hué par un groupe de personnes exprimant leur rejet de la loi d’amnistie du gouvernement et de ses négociations avec les séparatistes.
(Fernando Heller | EuroEFE.Euractiv.es)