Customize this title in frenchInternet et lignes téléphoniques coupées à Gaza, Israël frappe un camp de réfugiés, le passage de Rafah est ouvert pour certains

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Les derniers développements de la guerre entre Israël et le Hamas.

Des centaines de ressortissants étrangers blessés quittent Gaza par le poste frontière de Rafah

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Des centaines de titulaires d’un double passeport et des dizaines de Palestiniens grièvement blessés ont été autorisés à quitter Gaza mercredi après plus de trois semaines de siège.

Ils sont partis par la frontière sud de l’enclave, au poste-frontière de Rafah, vers l’Égypte.

L’évacuation limitée a eu lieu alors que les frappes aériennes israéliennes détruisaient des appartements dans une zone densément peuplée pour la deuxième journée consécutive.

Le groupe a été le premier à quitter Gaza – outre quatre otages libérés par le Hamas et un autre secouru par les forces israéliennes – alors même que les bombardements ont chassé des centaines de milliers de personnes de leurs maisons et que la nourriture, l’eau et le carburant se font rares.

On ne sait toujours pas si davantage de personnes seront autorisées à quitter Gaza dans les prochains jours.

L’ouverture du terminal a été négociée entre l’Égypte, Israël et le Hamas, en coordination avec les États-Unis. Le Qatar a servi de médiateur dans les pourparlers.

Cependant, rien n’indique combien de temps il restera ouvert.

La pression monte pour ouvrir Rafah pour des raisons humanitaires, même si Cario se montre prudent quant à un mouvement massif de Gazaouis franchissant la frontière vers son territoire.

La zone autour du terminal a été touchée lors des raids aériens israéliens.

Réseaux Internet et téléphoniques coupés à Gaza

Les communications ont été coupées à Gaza, ont déclaré mercredi deux fournisseurs palestiniens, Paltel et Jawwal.

L’organisme de surveillance Netblocks a confirmé que « la bande de Gaza connaît une nouvelle panne d’Internet ».

Cet incident, la deuxième coupure majeure en cinq jours, signifie « une perte totale des télécommunications pour la plupart des habitants », ajoute le communiqué.

Les agences humanitaires ont averti que de telles coupures de courant perturberaient gravement leur travail, tandis que d’autres ont affirmé qu’elles pourraient couvrir des atrocités.

Un journaliste de l’AFP à Gaza avait précédemment affirmé que l’accès aux réseaux de télécommunications n’était possible qu’avec une carte SIM internationale.

Les communications avaient été coupées vendredi à Gaza alors qu’Israël menait d’intenses frappes sur le territoire palestinien, privant ses 2,4 millions d’habitants de tout contact avec le monde extérieur. Ils ont été progressivement rétablis à partir de dimanche.

Human Rights Watch avait exprimé à l’époque sa préoccupation qu’une telle réduction puisse servir de « couverture à des atrocités massives ».

Plus de 8 500 personnes, pour la plupart des civils, ont déjà été tuées à Gaza depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas, selon le ministère de la Santé de l’enclave.

En Israël, plus de 1 400 personnes ont été tuées lors de l’attaque du Hamas le 7 octobre, selon les autorités israéliennes.

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Israël frappe plus de 10 000 « cibles » à Gaza

L’armée israélienne a annoncé mercredi avoir frappé plus de 11 000 « cibles » dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre.

L’armée israélienne a déclaré dans un communiqué que les cibles appartenaient à des « organisations terroristes » à Gaza.

Des milliers de civils de l’enclave palestinienne ont été touchés par les frappes israéliennes contre des écoles, des hôpitaux et des zones résidentielles.

Environ la moitié de la population de Gaza est constituée d’enfants, selon l’ONU.

Un camp de réfugiés de Gaza touché par une frappe aérienne israélienne

Israël a attaqué mardi un camp de réfugiés densément peuplé dans la bande de Gaza, tuant au moins 50 Palestiniens.

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Il a affirmé qu’un commandant du Hamas, Ibrahim Biari, avait été tué dans la frappe aérienne sur Jabalia, le plus grand camp de réfugiés de Gaza, affirmant qu’il était à l’origine de « l’attaque terroriste meurtrière » du 7 octobre.

Le porte-parole du Hamas, Hazem Qassem, a nié la présence d’un commandant supérieur sur place et a qualifié cette affirmation de prétexte israélien pour tuer des civils.

Les responsables palestiniens de la santé ont déclaré qu’au moins 50 Palestiniens avaient été tués dans l’explosion du camp de réfugiés et 150 blessés.

Le Hamas a déclaré qu’il y avait 400 morts et blessés à Jabalia, foyer de réfugiés des guerres successives avec Israël remontant à 1948.

Euronews ne peut pas vérifier ces chiffres de manière indépendante.

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Les médecins auraient été submergés par le nombre de victimes, soignant les patients dans les couloirs de l’hôpital.

L’Arabie saoudite a dénoncé mercredi « avec la plus grande fermeté » les bombardements israéliens. Le poids lourd du Moyen-Orient a suspendu les négociations sur la normalisation des relations avec Israël, à la suite de l’attaque meurtrière du Hamas.

La guerre entre Israël et le Hamas renforce le régime iranien (ONU)

Les combats entre Israël et le Hamas renforcent la « répression » en Iran en détournant l’attention des critiques internes du régime, a déclaré mardi le rapporteur spécial de l’ONU sur les droits de l’homme dans le pays.

Selon Javaid Rehman, la République islamique a perdu sa crédibilité depuis les manifestations sans précédent déclenchées par la mort de Mahsa Amini en septembre 2022.

Les dirigeants iraniens « prévoyaient déjà d’intensifier la répression », a déclaré Rehman à Washington lors des discussions sur la démocratie en Iran.

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« Vu la crise actuelle, ils se sentent d’autant plus forts qu’ils croient avoir réussi à détourner l’attention des critiques internes et de la répression interne, en devenant ou en prétendant être devenus de virulents défenseurs… du mouvement palestinien », a-t-il ajouté.

L’Iran est un fervent partisan de la cause palestinienne et entretient des relations avec le Hamas.

Il soutient le Hezbollah dans le sud du Liban, qui a attaqué à plusieurs reprises les forces israéliennes depuis le début des violences.

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