« Quelqu’un va mourir » – L’attaque de Pelosi fait craindre d’autres attaques

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cible d’attaques

Nancy Pelosi et son mari Paul à la Maison Blanche en janvier 2010.

(Photo: imago stock&personnes)

Washington Là où quelques minutes plus tôt les rythmes de « Push it » s’écrasaient dans la salle, tout d’un coup c’était calme. Barack Obama a appelé des dizaines de milliers de personnes à prier pour « mon bon ami, Paul Pelosi ». L’ex-président est en tournée aux États-Unis ces jours-ci pour convaincre les partisans démocrates de voter.

Lors de son rassemblement d’ouverture à Atlanta vendredi, il a exprimé sa consternation face à l’attaque contre le mari de Nancy Pelosi, la puissante démocrate et présidente de la Chambre. La politique devient « de plus en plus agitée, de plus en plus passionnée », a prévenu Obama. Il a blâmé les réseaux sociaux, « les plateformes qui trouvent souvent les conflits et les controverses plus rentables que les faits et la vérité ».

Le président américain Joe Biden est allé plus loin qu’Obama et a imputé l’attaque violente à la rhétorique extrémiste de nombreux républicains américains. Les républicains, quant à eux, considèrent l’acte de violence comme un symptôme de la hausse du taux de criminalité, en particulier dans les grandes villes souvent gouvernées démocratiquement.

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