Customize this title in frenchUne nouvelle technologie de sécurité pour les Jeux Olympiques de 2024 présentée à Paris

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Les entreprises de technologie de sécurité ont présenté leurs offres pour contribuer à garantir le déroulement sûr des Jeux Olympiques de Paris l’année prochaine.

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Entreprises et entrepreneurs se sont réunis au salon Milipol 2023 à Paris pour présenter la technologie de sécurité de pointe qui pourrait être utilisée l’année prochaine pour assurer le bon déroulement des Jeux olympiques d’été de 2024.

Les organisateurs des Jeux peaufinent les mesures de sécurité pour les événements à l’approche de la date du coup d’envoi du 26 juillet.

Environ 16 millions de touristes sont attendus dans la capitale française pour l’événement sportif.

La principale préoccupation en matière de sécurité sera la cérémonie d’ouverture, où plusieurs centaines de milliers de spectateurs sont attendus le long de la Seine tandis que des centaines d’athlètes prendront l’eau.

C’est la première fois qu’un tel événement se déroulera en extérieur parmi les sites emblématiques et monuments célèbres de Paris.

Selon le GICAT, le groupement d’entreprises françaises prestataires de solutions technologiques pour l’événement, plus de 700 solutions technologiques numériques, tant matérielles que logicielles, ont été étudiées et près de huit milliards d’événements tests de cybersécurité ont été organisés.

Ces solutions technologiques numériques n’incluront toutefois pas de fournisseurs russes ou chinois, ayant déjà été exclus. L’organisation privilégie plutôt les entreprises européennes et françaises.

Les entreprises sélectionnées seront annoncées en décembre et se verront attribuer des contrats de plusieurs millions d’euros pour assurer la sécurité autour des sites olympiques, tandis que la sécurité sur les sites sera assurée par les sponsors officiels des Jeux.

L’un des prétendants est la société française Evitech, qui a développé un logiciel de surveillance « intelligent » capable d’analyser les images de vidéosurveillance et de signaler des situations à risque, comme la présence d’objets abandonnés ou de personnes portant une arme.

« Détecter une personne avec un visage rouge, qui a l’air d’être sur le point de se mettre en colère, et avoir tel ou tel type ou construction de personnalité, c’est ce qu’on appelle un parti pris et c’est interdit par la loi », a déclaré Pierre Bernas, PDG de l’association. entreprise, a déclaré.

« Ce qui est autorisé par la loi est [detecting] le nombre de personnes, une bousculade, un objet abandonné, des personnes allant dans la mauvaise direction, une personne tombant dans la foule, de la fumée au dessus de la foule… Ce sont des situations neutres qui peuvent réellement se produire et peuvent refléter (les événements d’) une certaine gravité », a-t-il ajouté.

Les drones constituent une autre menace potentielle majeure pour la sécurité du ministère français de l’Intérieur et du ministère des Armées.

La police française est déjà équipée de canons capables de brouiller les signaux wifi ou GPS entre un drone et sa télécommande. De tels canons peuvent intercepter des drones à une altitude d’environ 1 000 mètres.

Les organisateurs insistent également sur le fait qu’ils n’auront pas recours à la reconnaissance faciale pour assurer la sécurité des Jeux olympiques, le Parlement français ayant rejeté une disposition de la loi olympique qui aurait pu l’autoriser.

Pour en savoir plus sur cette histoire, regardez la vidéo dans le lecteur multimédia ci-dessus.

Editeur de vidéo • Aisling Ni Chúláin

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