Customize this title in frenchHébergements douteux et faux moniteurs : les arnaques au ski à surveiller cet hiver

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Ne vous laissez pas berner par ce qui semble être une offre bon marché sur l’hébergement ou les cours de ski.

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Alors que la plupart des vacances au ski sont synonymes de journées de rêve, de neige fraîche et de chalets confortables, chaque hiver, certaines sont gâchées par des escrocs.

Alors que les stations hotspot commenceront à ouvrir leurs pistes, les vacanciers loueront du matériel, réserveront des cours et choisiront leur hébergement – ​​et les fraudeurs les attendront.

Certaines escroqueries vous font perdre de l’argent, mais d’autres peuvent vous mettre en danger.

Pour être sûr de slalomer entre les arnaques cet hiver, voici ce qu’il faut surveiller et les précautions à prendre.

Les sites de location proposent de faux logements

L’arnaque la plus répandue est la location de logements, selon Sébastien Mérignargues, directeur d’Avoriaz 1800 en Haute-Savoie.

« Il s’agit malheureusement d’un problème très répandu et qui se produit partout stations de ski, » il dit. En Haute-Savoie, il voit environ cinq vacanciers par saison se faire piéger par de fausses locations.

Les fraudeurs réutilisent les photos et les descriptions d’une propriété d’une annonce existante ou combinent des images et des informations de deux annonces et les mettent en ligne.

Le logement réel qu’un voyageur réserve s’avère alors être une propriété complètement différente, voire n’existe pas du tout.

« La plupart du temps, les clients reçoivent une confirmation après avoir payé un acompte, puis tout disparaît », précise Mérignargues. « Les criminels utilisent des adresses IP cachées et opèrent depuis l’étranger, ce qui leur permet de s’évaporer plus facilement. »

Comment garantir la légitimité de votre bien locatif

A Châtel, une station dans les vastes Portes du Soleil domaine skiablela mairie a mis en place un système d’identification des logements, attribuant à chaque bien un numéro à 13 chiffres.

Les propriétaires doivent s’inscrire sur la plateforme avant d’annoncer leur hébergement.

«Dès qu’un propriétaire souhaite passer une annonce, on lui demande ce numéro d’identification. S’il introduit un faux, nous recevons une notification», explique Tiffany Vulliez, à la mairie de Châtel.

À Avoriaz, un système similaire est en place. «Il y a trois ans, il y a eu une recrudescence de ce genre d’arnaques», raconte Mérignargues.

« Si cela s’est un peu calmé depuis, c’est parce que toutes les stations ont développé des techniques pour enrayer ce phénomène et parce que les médias ont sensibilisé l’opinion. »

Vous pouvez également envisager de réserver auprès d’une agence. « Passer par des agences qui ont des propriétés C’est une garantie », déclare Florence Chone, directrice marketing et communication de l’agence de location Cimalpes.

« C’est comme savoir qu’il y a des agents sur place, qui vous accueilleront et vous remettront les clés. »

Pourquoi il faut se méfier des prix anormalement bas

Une autre précaution que les vacanciers devraient prendre est de ne pas se laisser attirer par ce qui semble être de très bonnes affaires.

« Il faut toujours se méfier des prix anormalement inférieurs à ceux du marché », précise Mérignargues. « Par ailleurs, si un propriétaire demande une caution, voire la totalité du prix de la location par virement, il faudra être prudent. »

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Attention aux faux moniteurs de ski

Une autre arnaque courante consiste à utiliser des personnes se faisant passer pour ski instructeurs et offrant leurs services en ligne. Les publicités vantent le savoir-faire d’un instructeur et proposent deux ou trois faux témoignages.

Dans certains cas, ils facturent le voyageur à l’avance. A l’arrivée, le moniteur est introuvable.

« On recrute une ou deux personnes par saison pour ce type d’arnaque. En général, on arrive à trouver un moniteur reconnu pour quelques heures de cours ici et là », rassure Mérignargues.

Alternativement, les skieurs peuvent réserver et prendre plusieurs heures de cours avec un instructeur qui, à leur insu, n’est pas qualifié.

« Ces cours sont dispensés par quelqu’un qui n’a pas reçu l’autorisation d’exercice de l’État. Cela usurpe la profession», prévient Jean-Marc Simon, directeur général du Syndicat national des moniteurs du ski français (SNMSF).

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Ce genre d’arnaque peut avoir de graves conséquences. « C’est dangereux. Le ski se pratique dans un environnement spécifique qui n’est pas sans risque et qui nécessite des qualifications », souligne-t-il.

« S’il existe un accident dont elles sont responsables, les victimes peuvent se retrouver sans moyens d’obtenir dommages et intérêts lors des recours. »

Pour vous assurer que votre moniteur de ski En tant que professionnel diplômé, Simon conseille de réserver auprès d’une entreprise ou d’une école qui offre des garanties « en termes de personnel, d’assurance, de professionnalisme et de transparence ».

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