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Un gang qui a lancé une sauvage attaque au couteau lors du bal d’hiver d’un village français, tuant un adolescent, a déclaré aux invités : « nous sommes ici pour poignarder les Blancs » avant le déchaînement, selon un rapport.
Le lycéen de 16 ans, identifié uniquement sous le nom de Thomas, a été poignardé ce week-end lorsqu’un groupe d’étrangers s’est abattu sur une foule festive d’environ 400 personnes rassemblées à Crépol, dans le sud-ouest de la Drôme, pour une soirée dansante dans le salle des fêtes.
Il est décédé alors qu’il était transporté à l’hôpital, tandis qu’au moins 17 autres personnes ont été blessées, dont deux grièvement.
Des militants d’extrême droite ont mis en ligne des vidéos qui, selon eux, avaient été tournées pendant la danse, affirmant qu’elles permettaient d’identifier deux des agresseurs. Une vidéo circulant sur les réseaux sociaux montre plusieurs personnes impliquées dans une altercation nocturne.
L’authenticité des vidéos n’a pas été vérifiée.
« Nous sommes là pour poignarder des Blancs », aurait crié l’un des assaillants, vêtu d’une salopette et de baskets, selon un témoignage rapporté par le journal Le Dauphiné libéré.
Le lycéen de 16 ans a été poignardé ce week-end lorsqu’un groupe d’étrangers s’est abattu sur une foule festive qui s’était rassemblée pour une soirée dansante dans une salle des fêtes en France.
L’incident a eu lieu à Crépol, dans la région sud-ouest de la Drôme.
Ce meurtre a suscité une controverse politique en France, l’extrême droite qualifiant mardi cette attaque de racisme anti-blanc.
Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a déclaré au Parlement que sept personnes avaient été arrêtées et que les enquêteurs allaient désormais déterminer si elles étaient à l’origine de « ce crime odieux ».
Une source proche du dossier, qui a requis l’anonymat, a indiqué à l’AFP que le tueur présumé faisait partie des sept interpellés autour de la ville de Toulouse, à environ 400 kilomètres de là, lors de descentes menées par une cinquantaine de gendarmes d’élite. Unité GIGN.
Même avant les arrestations, les politiciens d’extrême droite avaient rapidement imputé l’attaque aux jeunes issus de l’immigration vivant dans des logements sociaux, même si la police n’a pas encore donné de détails sur l’identité des personnes arrêtées.
« Maintenant, le racisme anti-blanc frappe nos campagnes », a déclaré Marion Maréchal, tête de liste du parti d’extrême droite Reconquête ! parti de l’ex-espoir présidentiel Eric Zemmour aux élections européennes de l’année prochaine, a revendiqué sur X, anciennement Twitter.
Marine Le Pen, figure de proue du Rassemblement national (RN) d’extrême droite et ancienne candidate à la présidentielle, a affirmé dans un entretien à l’hebdomadaire Valeurs Actuelles que des « milices armées » organisaient des « raids ».
Zemmour, également sur X, a affirmé : « Nos martyrs sont des victimes innocentes de la guerre des civilisations. »
La porte-parole de la gendarmerie, Marie-Laure Pezan, a déclaré mardi que les incidents du week-end avaient été marqués « par une violence assez inouïe pour un village de 500 habitants ».
Josette Place, retraitée et membre du comité des événements du village, a déclaré à l’AFP: « Ce n’était pas un combat, c’était une attaque ».
Armés de couteaux et de blocs de béton, « ils sont venus avec l’intention de tuer », a-t-elle déclaré à propos des assaillants.
Selon le parquet, une dizaine de jeunes ont tenté de pénétrer dans la salle de danse du village de Crépol samedi soir. L’un d’eux a poignardé un garde qui se tenait sur leur chemin.
Les invités au bal se sont précipités pour aider et une bagarre s’est ensuivie à l’extérieur du bâtiment au cours de laquelle Thomas a été mortellement poignardé.
Des militants d’extrême droite ont appelé à une marche silencieuse mercredi à Romans-sur-Isère, où se trouve le lycée de Thomas, en utilisant des hashtags tels que #francocide, #Francaisreveillezvous ou #Racaille (Thugs) dans leurs publications en ligne. .
Pendant ce temps, un jardinier nommé Mourad a été agressé vendredi au sud-ouest de Paris avec un couteau artisanal par un homme de 75 ans, qui a crié des insultes racistes et a ensuite été arrêté.
Evoquant l’assassinat de Thomas et l’attentat contre Mourad, le député d’extrême gauche François Ruffin s’est prononcé contre « une atmosphère pesante » dans les médias et sur les réseaux sociaux « comme s’il fallait prendre parti ».
« Soyons tous des remparts contre ces décisions et restons humains », a écrit Ruffin sur X.