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© Reuter. PHOTO DE DOSSIER : Une vue aérienne montre les réservoirs de pétrole de l’opérateur de l’oléoduc Transneft au terminal de pétrole brut de Kozmino, sur la rive de la baie de Nakhodka, près de la ville portuaire de Nakhodka, en Russie, le 13 juin 2022. REUTERS/Tatiana Meel/File Photo
Par Robert Harvey
(Reuters) – Les prix du pétrole sont restés globalement stables vendredi après une baisse de 2 % jeudi, le marché n’étant pas convaincu que la dernière série de réductions de production par la coalition OPEP+ sera en mesure de sortir les prix de leur récente crise.
les contrats à terme pour février ont augmenté de 1 cent, ou 0,01%, à 80,87 dollars le baril à 13 h 25 GMT lors de leur premier jour en tant que contrat ICE Brent du premier mois.
Les contrats à terme sur le brut américain West Texas Intermediate (WTI) ont augmenté de 15 cents, ou 0,2%, à 76,11 $.
Les producteurs de l’OPEP+ ont convenu jeudi de retirer environ 2,2 millions de barils par jour (b/j) de pétrole du marché mondial au premier trimestre de l’année prochaine, ce total incluant le refinancement de l’Arabie saoudite et les 1,3 millions de b/j de réductions volontaires actuelles de la Russie.
L’OPEP+, qui produit plus de 40 % du pétrole mondial, se concentre sur la réduction de sa production alors que les prix ont chuté d’environ 98 dollars fin septembre en raison des inquiétudes concernant une croissance économique plus faible en 2024.
Le marché a accueilli la nouvelle avec scepticisme et confusion, motivé par des inquiétudes quant à la conformité étant donné la nature volontaire des réductions, les vents contraires macroéconomiques persistants et les attentes antérieures des investisseurs concernant des réductions plus importantes.
Les réductions « n’arrêteront pas un nuage de confusion qui prendra des semaines et des mois au marché pétrolier pour comprendre et seulement si les données auto-déclarées sont effectivement fiables », a déclaré vendredi l’analyste de PVM, John Evans.
« Le seul véritable espoir d’un équilibre à long terme sur le marché est une amélioration spectaculaire des données économiques mondiales alors que nous entamons la nouvelle année », a déclaré vendredi à Reuters le directeur général d’Onyx Capital Group, Greg Newman.
« Les marchés avaient peut-être prévu une nouvelle baisse plus importante, mais celle-ci n’a tout simplement pas répondu à ces attentes », a ajouté Craig Erlam, analyste d’OANDA.
Les données industrielles mondiales sont restées faibles en novembre en raison d’une demande médiocre, selon les enquêtes, alors que la zone euro a continué de se contracter mais que des signaux mitigés sont apparus sur l’économie chinoise.
Par ailleurs, lors du sommet COP28 de deux semaines aux Émirats arabes unis vendredi, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a appelé à un avenir sans combustibles fossiles.
Israël a repris ses bombardements sur Gaza vendredi après l’échec des pourparlers visant à prolonger une trêve d’une semaine. Le risque d’une extension du conflit à l’ensemble du Moyen-Orient a soutenu les prix du pétrole après le déclenchement des combats le mois dernier.