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Dans un nouvel effort pour tourner la page de leurs relations bilatérales difficiles, la Grèce et la Turquie devraient faire un premier pas lors d’une réunion de haut niveau à Athènes jeudi avec un nouvel accord pour lutter contre le trafic de migrants.
Selon les médias locaux, le président turc Recep Tayyip Erdogan et le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis devraient signer plus de 20 accords axés sur les questions dites de « politique douce » dans le cadre d’un dialogue de « rapprochement » en cours.
L’accord le plus important est considéré comme celui lié à la migration : selon des sources gouvernementales à Athènes, le cœur de l’accord sera la formation de deux groupes de travail, un turc et un grec, qui seront composés de dirigeants de pays co-compétents. ministères et agences.
Les équipes travailleront en étroite collaboration et échangeront des informations en temps réel sur les mouvements des passeurs d’immigrés illégaux à Evros (nord-est de la Grèce) et dans l’est de la mer Égée.
Par ailleurs, deux membres des garde-côtes, un grec et un turc, seront stationnés respectivement à Izmir (côte turque) et sur une île grecque à convenir.
Relancer l’accord UE-Turquie de 2016 ?
Athènes espère que cet accord contribuera à relancer l’accord migratoire UE-Turquie de 2016, selon lequel Ankara s’est engagé à prendre des mesures pour empêcher les personnes de voyager irrégulièrement Turquie vers les îles grecques.
De plusquiconque arrives sur le grec îles irrégulièrement de Turquie pourrait y être restitué.
Un rapport sur l’état des relations entre l’UE et la Turquie publié la semaine dernière a montré que la collaboration contre les passeurs de migrants et les retours croissants de migrants irréguliers vers la Turquie doit être améliorée.
Le rapport note que la Turquie reste un pays de transit important pour les arrivées irrégulières vers l’UE via les routes des Balkans occidentaux et de la Méditerranée orientale, avec une augmentation de 34 % au cours des dix premiers mois de 2023 par rapport à la même période en 2022.
Le rapport explique qu’il y a eu une « forte augmentation » des arrivées irrégulières vers les îles grecques, où les chiffres ont « plus que triplé » (237 %).
Le nouvel accord européen sur la migration, actuellement en cours de négociation entre les États membres, suggère que les accords avec les pays tiers en matière de retour doivent être intensifiés.
Le rapport de l’UE reconnaît toutefois qu’avec la Turquie, le rythme des retours est lent depuis 2016 et appelle Ankara à respecter ses engagements.
(Sarantis Michalopoulos | Euractiv.com)