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© Reuter. PHOTO DE DOSSIER : Un panneau de signalisation pour Wall Street est accroché devant la Bourse de New York le 8 mai 2013. REUTERS/Lucas Jackson/File Photo
Par Amruta Khandekar et Shristi Achar A
(Reuters) – Les principaux indices de Wall Street ont chuté vendredi après qu’un rapport sur l’emploi faisant état d’un marché du travail américain résilient ait atténué les espoirs d’une réduction des taux d’intérêt de la Réserve fédérale d’ici le début de l’année prochaine, tandis que les gains des valeurs énergétiques ont contribué à limiter les baisses.
Le rapport du ministère du Travail montre que la masse salariale non agricole a augmenté de 199 000 emplois en novembre, contre une augmentation estimée à 180 000.
Le taux de chômage a chuté à 3,7%, alors qu’on espérait qu’il resterait stable à 3,9%, tandis que les salaires moyens ont augmenté de 0,4% sur une base mensuelle, contre une prévision de croissance de 0,3%.
Les paris selon lesquels la Fed procéderait à une baisse des taux en mars sont tombés à 46,7% après la publication du rapport, contre 57,7%, selon l’outil FedWatch du groupe CME (NASDAQ :).
« Il y a une pression croissante autour de la Fed pour qu’elle adopte un message plus accommodant, et ces chiffres vont donner à la Fed une couverture pour poursuivre cette approche très belliciste », a déclaré Tony Roth, directeur des investissements chez Wilmington Trust à Philadelphie.
« Le marché a été évalué à la perfection en termes d’atterrissage en douceur. (Mais) cela ne se produira (pas) en ligne directe, cela va être cahoteux. »
Le rapport sur l’emploi contraste avec une multitude de données cette semaine qui indiquaient un ralentissement du marché du travail et alimentaient les paris selon lesquels la banque centrale était à la fin de sa campagne de resserrement et pourrait bientôt baisser les taux.
Le Nasdaq, à forte composante technologique, a sous-performé ses pairs alors qu’Alphabet (NASDAQ 🙂 a glissé de 1,7 % après un rallye alimenté par l’intelligence artificielle lors de la séance précédente.
Les autres valeurs à grande capitalisation étaient mitigées, Nvidia (NASDAQ 🙂 en hausse de 1,1 %.
Six des 11 indices sectoriels se sont négociés dans le rouge. Les valeurs énergétiques ont limité les baisses, augmentant de 1 % grâce à la hausse des prix du brut. [O/R]
L’optimisme autour des taux d’intérêt maximaux et les résultats trimestriels optimistes ont conduit à un fort rebond des actions vers la fin de l’année, tandis que les actions ont plongé depuis leur sommet d’octobre d’environ 5 %.
Le S&P 500 a augmenté de 19 % jusqu’à présent en 2023 et se situe à proximité de son niveau intrajournalier le plus élevé de l’année atteint en juillet.
À 9 h 38 HE, l’indice était en baisse de 19,42 points, ou 0,05 %, à 36 097,96, le S&P 500 était en baisse de 6,04 points, ou 0,13 %, à 4 579,55, et l’indice était en baisse de 48,60 points, ou 0,34 %, à 14 291,39.
Honeywell (NASDAQ 🙂 a chuté de 1,9 % après que l’entreprise industrielle a annoncé qu’elle rachèterait les activités de sécurité du fabricant de climatiseurs Carrier Global (NYSE 🙂 pour 4,95 milliards de dollars. Les actions de Carrier ont augmenté de 5,5 %.
Les émissions en baisse ont été plus nombreuses que les titres en progression pour un ratio de 1,08 pour 1 sur le NYSE et pour un ratio de 1,02 pour 1 sur le Nasdaq.
L’indice S&P a enregistré 10 nouveaux plus hauts sur 52 semaines et aucun nouveau plus bas, tandis que le Nasdaq a enregistré 29 nouveaux plus hauts et 25 nouveaux plus bas.