Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsClaudine Gay conservera son rôle de présidente de l’Université Harvard, a annoncé mardi le conseil d’administration de l’école, suite au tollé suscité par sa gestion des menaces antisémites lors d’un discours devant le Congrès la semaine dernière.Harvard Corporation, dans un communiqué, a déclaré qu’elle réaffirmait son soutien à Gay, qui s’est excusée pour son témoignage et « s’est engagée à redoubler la lutte de l’université contre l’antisémitisme ». »En cette période tumultueuse et difficile, nous soutenons unanimement le président Gay », a déclaré le conseil d’administration.Le Dr Claudine Gay, présidente de l’Université Harvard, témoigne devant le House Education and Workforce Committee le 5 décembre à Washington, DC.Kevin Dietsch via Getty ImagesLe conseil d’administration a également commenté les récentes allégations de plagiat contre Gay liées à ses écrits universitaires antérieurs. Le comité a déclaré que trois de ses articles ont été examinés de manière indépendante par des politologues et que, même si aucune violation n’a été constatée, il y a eu « quelques cas de citations inadéquates ».Quatre corrections seront donc apportées à deux des articles de Gay « pour insérer des citations et des guillemets qui ont été omis dans les publications originales », a indiqué le comité.Gay, qui est le premier président noir de l’université, a été critiquée la semaine dernière après avoir refusé à plusieurs reprises de dire définitivement lors de son témoignage si les appels au génocide des Juifs violeraient le code de conduite de Harvard. Gay, répondant aux questions de la représentante Elise Stefanik (RN.Y.) le 5 décembre, a déclaré que cela dépendrait du contexte. »Lorsque cela se traduit par une conduite qui s’apparente à de l’intimidation, du harcèlement ou de l’intimidation, il s’agit d’une conduite passible de poursuites, et nous prenons des mesures », a-t-elle déclaré. La députée républicaine Elise Stefanik a insisté auprès des présidents des universités de l’Ivy League sur l’antisémitisme sur leurs campus et sur la question de savoir si certains actes sont considérés comme du « harcèlement et de l’intimidation » lors d’une audience mardi. pic.twitter.com/1ANCoUPFg2– La Presse Associée (@AP) 6 décembre 2023Gay a fait face à une réaction immédiate du public et le lendemain, elle a publié une déclaration affirmant que « ceux qui menacent nos étudiants juifs devront rendre des comptes ».Stefanik a redoublé mardi sa position selon laquelle Gay devrait se retrouver au chômage.La décision de garder Gay est un « échec moral de la direction de Harvard et de la direction de l’enseignement supérieur aux plus hauts niveaux », a déclaré Stefanik lors d’une conférence de presse. « La seule mise à jour du code de conduite est d’autoriser un plagiaire à devenir président de Harvard. ».@RepStefanik sur @Harvard Président : « Le seul changement qu’ils ont apporté à leur code de conduite, là où ils ne condamnent pas les appels au génocide du peuple juif, la seule mise à jour du code de conduite est d’autoriser un plagiaire à la présidence de Harvard. » pic.twitter.com/Y5oMKKH2uD-CSPAN (@cspan) 12 décembre 2023En fin de semaine dernière, Stefanik a publié une lettre signé par 70 membres du Congrès, pour la plupart républicains, qui appelaient à l’éviction de Gay ainsi qu’à la destitution de deux autres présidents d’université qui ont témoigné aux côtés de Gay et ont donné des réponses similaires.« Il doit y avoir des responsabilités pour ceux qui menacent, harcèlent ou incitent à la violence contre la communauté juive et des directives claires doivent être établies pour les campus universitaires », peut-on lire dans la lettre. « Si les appels au génocide du peuple juif ne constituent pas une violation des politiques de vos universités, alors vos universités fonctionnent clairement selon un double standard. »Le conseil d’administration du Massachusetts Institute of Technology a publié une déclaration en faveur de sa présidente, Sally Kornbluth, qui a témoigné avec Gay. Liz Magill, qui a témoigné en tant que présidente de l’Université de Pennsylvanie, s’est excusée et a démissionné de ses fonctions samedi. Gay s’est également excusée dans une interview avec The Harvard Crimson, affirmant que dans son témoignage, elle s’était retrouvée prise dans un « échange prolongé et combatif sur les politiques et les procédures ».Elle a déclaré : « Ce que j’aurais dû avoir la présence d’esprit de faire à ce moment-là, c’était de revenir à ma vérité directrice, à savoir que les appels à la violence contre notre communauté juive – les menaces contre nos étudiants juifs – n’ont pas leur place à Harvard et n’auront jamais lieu. rester sans contestation.Soutenez le HuffPostLes enjeux n’ont jamais été aussi importantsAu HuffPost, nous pensons que tout le monde a besoin d’un journalisme de haute qualité, mais nous comprenons que tout le monde n’a pas les moyens de payer des abonnements coûteux à l’information. 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