Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsLa cathédrale Notre-Dame de Paris s’est ornée d’un tout nouveau coq doré réinventé en phénix. Cela s’est produit quatre ans après qu’un incendie, qui fait toujours l’objet d’une enquête, a dévasté le monument parisien emblématique, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, le 15 avril 2019.L’installation par une grue du nouvel oiseau doré aux plumes flamboyantes va bien au-delà d’une simple girouette au sommet de la flèche de la cathédrale.Il symbolise la résilience au milieu de la destruction après l’incendie – les responsables de la restauration ayant également révélé qu’un système de brumisation anti-incendie était installé sous le toit de la cathédrale.L’architecte en chef Philippe Villeneuve, qui a conçu ce nouveau coq, a déclaré que la survie du coq original représentait un rayon de lumière dans la catastrophe. La cathédrale Notre-Dame de Paris s’est ornée d’un tout nouveau coq doré réinventé en phénix. Cela s’est produit quatre ans après qu’un incendie ait dévasté l’emblématique monument parisien. L’installation par une grue du nouvel oiseau doré aux plumes flamboyantes va bien au-delà d’une simple girouette au sommet de la flèche de la cathédrale.« Qu’il y avait de l’espoir, que tout n’était pas perdu. La beauté du (vieux) coq battu… exprimait le cri de la cathédrale souffrant des flammes », a déclaré Villeneuve. Il a décrit la nouvelle œuvre d’art, longue d’environ un demi-mètre et scintillant sous le soleil de décembre derrière la cathédrale Notre-Dame, comme son « phénix ».Le plan est qu’une fois rouverte, la cathédrale puisse accueillir 14 millions de visiteurs par an, dès sa réouverture en décembre prochain.Cela représenterait deux millions de personnes de plus que ce que nous pouvions visiter avant l’incendie.Le projet de restauration et de reconstruction a été « une aventure humaine sans précédent », a déclaré Philippe Jost, président de l’établissement public Reconstruire Notre-Dame de Paris.Le président français Emmanuel Macron a visité la cathédrale le 8 décembre, un an jour pour jour avant sa réouverture prévue, à laquelle il compte inviter le pape François.Macron avait initialement promis de restaurer Notre-Dame d’ici cinq ans, à temps pour les Jeux olympiques de Paris l’été prochain.Villeneuve a précisé la signification du nouveau coq : « Depuis (l’incendie), nous travaillons sur ce coq (le) successeur, qui voit la flamme portée au sommet de la cathédrale comme elle l’était auparavant, à plus de 96 mètres du terre… C’est un feu de résurrection.Dans des commentaires légers, l’architecte a déclaré que le processus de conception était si intense qu’il devrait peut-être en parler à son « thérapeute ». Elle symbolise la résilience au milieu de la destruction après l’incendie dévastateur d’avril 2019 – les responsables de la restauration ayant également révélé qu’un système de brumisation anti-incendie était installé sous le toit de la cathédrale.Avant de monter sur son perchoir, le coq, emblème français de la vigilance et de la résurrection du Christ, a été béni par Mgr Laurent Ulrich, archevêque de Paris, sur une place derrière le monument. Le coq est un emblème national émotif pour les Français en raison de la sémantique du mot – le latin gallus signifiant Gaule et gallus signifiant simultanément coq.Ulrich a placé des reliques sacrées dans un trou à l’intérieur de la poitrine du coq, notamment des fragments de la couronne d’épines du Christ et les restes de saint Denis et de sainte Geneviève, conférant à la sculpture une importance religieuse. La Couronne d’épines, considérée comme la relique la plus sacrée de Notre-Dame, figurait parmi les trésors rapidement retirés après le déclenchement de l’incendie. Apporté à Paris par le roi Louis IX au XIIIe siècle, il aurait été pressé sur la tête du Christ lors de la crucifixion. Un tube scellé a également été placé dans la sculpture contenant une liste des noms de près de 2 000 personnes ayant contribué à la reconstruction de la cathédrale, soulignant l’effort collectif derrière les œuvres.Au cours de la cérémonie de bénédiction du coq, le nouveau chef de la restauration de Notre-Dame, Philippe Jost, a également détaillé les mesures pionnières prises pour protéger l’emblématique cathédrale contre de futurs incendies – dans de rares commentaires à la presse. »Nous avons déployé une série de dispositifs de protection incendie, dont certains sont très innovants dans une cathédrale, notamment un système de brumisation dans les combles, là où se trouvent la charpente en chêne et dans la flèche », explique Jost. « Et c’est une première pour une cathédrale en France. »Le président français Emmanuel Macron, qui a visité le site la semaine dernière à l’occasion du compte à rebours d’un an avant sa réouverture, a annoncé que le coq original serait exposé dans un nouveau musée à l’Hôtel-Dieu. Cette décision, ainsi que le projet d’inviter le pape François à la réouverture de la cathédrale l’année prochaine, soulignent l’importance de Notre-Dame dans l’histoire et la culture française.L’installation du coq, couronnant une flèche reconstruite d’après le dessin d’Eugène Viollet-le-Duc du XIXe siècle, est un rappel poignant de ses origines médiévales en tant que symbole d’espoir et de foi.Son association de longue date avec la nation française depuis la Renaissance ajoute encore à son importance historique et culturelle, marquant un nouveau chapitre de renouveau et d’espoir pour Notre-Dame et le peuple français.
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