Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsEnfin, l’inflation au Royaume-Uni a chuté assez rapidement pour commencer à rivaliser avec des pays comme la France, où le taux annuel de hausse des prix a diminué à un rythme plus rapide cette année.À 3,9 % le mois dernier, le chiffre global reste presque le double de l’objectif de 2 % fixé pour la Banque d’Angleterre, mais nettement inférieur au pic de 11,1 % d’octobre de l’année dernière et en dessous de l’objectif de 5,3 % fixé par Rishi Sunak pour la fin de 2023.Mieux encore, de nombreux prix ont baissé de mois en mois. Dans les rayons des supermarchés, les pains de mie blancs et complets ainsi que les paquets de gâteaux ont tous baissé entre octobre et novembre après une hausse à la même période il y a un an.Cependant, comme l’ont souligné les syndicats, les groupes de réflexion et le parti travailliste, la crise du coût de la vie des deux dernières années continue d’être ressentie durement par beaucoup. Les prix des denrées alimentaires étaient 29 % plus élevés le mois dernier qu’ils ne l’étaient en septembre 2021, et les prix de l’énergie étaient 66 % plus élevés.Cela contribue à expliquer pourquoi, dans une récente enquête du groupe de réflexion Resolution Foundation, deux fois plus de familles ont déclaré que leurs finances étaient dans une situation pire à l’automne que celles qui ont déclaré qu’elles s’étaient améliorées.Une grande partie de la baisse des coûts alimentaires est liée à la tendance à la baisse des prix du pétrole, qui joue un rôle important dans les budgets des entreprises de transport. Les récentes chutes du prix du pétrole sont principalement dues à la chute de la demande dans une grande partie de l’Asie et de l’Europe, où les taux d’intérêt élevés ont pesé sur les dépenses des consommateurs et des entreprises. Cependant, on craint que l’arrêt récent du trafic maritime via la mer Rouge, après les attaques des rebelles Houthis protestant contre la guerre menée par Israël contre le Hamas à Gaza, n’entraîne une nouvelle hausse des coûts de l’énergie et de la chaîne d’approvisionnement.Les taux d’intérêt élevés au Royaume-Uni se sont révélés jusqu’à présent moins efficaces pour persuader les entreprises de services de ralentir la hausse des prix, ce qui a incité l’Institut national de recherche économique et sociale à déclarer qu’il restait « encore du chemin à parcourir avant que l’inflation n’atteigne l’objectif de la Banque d’Angleterre ». ».Graphique de l’inflationLes entreprises de services – depuis les sociétés de marketing jusqu’aux grandes banques – ont résisté à la tendance, accusant les salaires plus élevés du personnel d’être à l’origine de leurs hausses de prix persistantes. L’exclusion du carburant et de la nourriture du taux d’inflation donne une mesure de l’inflation sous-jacente, et celle-ci n’a chuté que de 5,7 % à 5,1 %.Les entreprises de services cesseront-elles de répercuter la hausse des coûts en 2024 ? Il s’agit d’une préoccupation majeure de la Banque d’Angleterre et semble être la principale raison pour laquelle elle maintiendra des taux d’intérêt élevés l’année prochaine.ignorer la promotion de la newsletter précédenteInscrivez-vous pour Affaires aujourd’huiPréparez-vous pour la journée de travail : nous vous indiquerons toutes les actualités et analyses économiques dont vous avez besoin chaque matin. », »newsletterId »: »business-today », »successDescription »: »Préparez-vous pour la journée de travail : nous vous indiquerons toutes les actualités et analyses commerciales dont vous avez besoin chaque matin »} » config= » »renderingTarget » : »Web », »darkModeAvailable »:false »>Avis de confidentialité: Les newsletters peuvent contenir des informations sur des organismes de bienfaisance, des publicités en ligne et du contenu financé par des tiers. Pour plus d’informations, consultez notre Politique de confidentialité. Nous utilisons Google reCaptcha pour protéger notre site Web et la politique de confidentialité et les conditions d’utilisation de Google s’appliquent.après la promotion de la newsletterEn revanche, les investisseurs ont revu à la baisse leurs prévisions quant au moment où la banque centrale commencera à baisser les taux d’intérêt, intégrant pleinement la première baisse à partir de mai prochain, peut-être dès mars.C’est le signe d’un décalage croissant entre les marchés et les décideurs des taux d’intérêt. Les traders parient que les banques centrales ne peuvent pas risquer de provoquer une récession en maintenant des taux élevés plus longtemps, surtout en 2024, lorsque la plupart des pays auront des élections législatives majeures.Les banquiers centraux, pour l’essentiel, hésitent à faire allusion à des réductions anticipées, au cas où cela amènerait les consommateurs à se détendre quant à la probabilité d’un retour à des emprunts bon marché, ce qui ferait grimper la demande et, avec elle, les prix à la consommation. C’est un jeu du chat et de la souris et l’issue est incertaine.En France, l’économie connaît un ralentissement dramatique et, sans réduction des taux d’intérêt, on craint une augmentation du chômage et des troubles sociaux. Cela pourrait être le sort du Royaume-Uni l’année prochaine si les sociétés de services insistent pour répercuter sur leurs clients le fardeau de la hausse des coûts.
Source link -57