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La Cour suprême d’Israël a invalidé lundi un élément clé des réformes judiciaires controversées du Premier ministre Benjamin Netanyahu, rendant une décision historique sur une question qui a provoqué des manifestations antigouvernementales à l’échelle nationale l’année dernière.
La décision a annulé de peu un élément clé des réformes judiciaires proposées par Netanyahu, qui supprimeraient le pouvoir de la Cour suprême (et des tribunaux inférieurs) d’annuler les décisions gouvernementales jugées « extrêmement déraisonnables ».
L’annulation du projet de loi par la Cour suprême a suscité des critiques de la part des responsables du gouvernement, qui estiment que cette décision porte atteinte à la démocratie du pays en affaiblissant le système judiciaire.
Les critiques du gouvernement de Netanyahu – le plus à droite de l’histoire d’Israël – affirment que ces propositions pousseront le pays vers un régime plus autoritaire et affaibliront le système judiciaire, censé empêcher le gouvernement d’utiliser ses pouvoirs sans modération.
Les propositions donneraient également au gouvernement un plus grand mot à dire dans la nomination des juges.
Depuis début 2023, d’énormes manifestations hebdomadaires ont eu lieu une fois par semaine par des personnes opposées aux projets de réforme du gouvernement.
Sans se laisser décourager, le gouvernement – qui dispose d’une confortable majorité au Parlement – a adopté en juillet le projet de loi dit du « caractère raisonnable ».
Les manifestants ont appelé à l’abandon des réformes prévues et à la démission de Netanyahu. Ils sont soutenus par les rivaux politiques de M. Netanyahu, ainsi que par d’anciens hauts responsables de l’armée, des services de renseignement et de sécurité israéliens, d’anciens juges en chef et d’éminentes personnalités juridiques et chefs d’entreprise, entre autres.