Customize this title in frenchLes Big Tech critiquées par leurs rivaux pour ne pas avoir respecté la loi européenne sur les marchés numériques

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Alors que la date limite pour se conformer aux règles européennes relatives aux grandes technologies approche à grands pas, les concurrents des contrôleurs d’accès désignés craignent de ne pas être en mesure de se conformer de manière satisfaisante.

La loi sur les marchés numériques (DMA) est une loi européenne historique ciblant les entreprises qui ont acquis une position dominante dans des secteurs critiques de l’économie Internet pour agir en tant que « gardiens » entre les utilisateurs professionnels et les consommateurs.

En septembre, la Commission européenne a désigné six sociétés comme gardiens : Alphabet, Amazon, Apple, ByteDance, Meta et Microsoft. Il existe 22 « services de plateforme de base » qui dominent des marchés numériques spécifiques, notamment les réseaux sociaux comme TikTok et les navigateurs Web comme Chrome.

Dans ces secteurs, le DMA impose une liste de choses à faire et à ne pas faire que les contrôleurs d’accès doivent suivre pour s’assurer qu’ils ne peuvent pas exploiter indûment leur pouvoir de marché pour consolider leur position et empêcher l’émergence de concurrents.

Cependant, à 50 jours du délai de mise en conformité du 6 mars, plusieurs entreprises concurrentes tirent la sonnette d’alarme concernant le manque d’engagement effectif des contrôleurs d’accès, leur demandant d’entamer un dialogue constructif avec les utilisateurs professionnels et les organisations de consommateurs.

Meta conteste les règles de l’UE en matière de Big Tech concernant Messanger et Marketplace

Meta fait appel de la désignation de sa plateforme de messagerie instantanée Messenger et de son service d’intermédiation Marketplace, qui les soumettrait au régime strict de règles ex ante de l’Europe.

En vertu de la loi sur les marchés numériques, les entreprises technologiques qui ont acquis une telle position dominante…

« Les contrôleurs d’accès n’ont pas réussi à engager un dialogue avec des tiers ou ont présenté des solutions qui ne sont pas conformes au DMA », peut-on lire dans une lettre ouverte publiée mardi 16 janvier.

« Mars 2024 marque le début d’une nouvelle ère dans laquelle les contrôleurs d’accès, les régulateurs, les utilisateurs professionnels et les associations de consommateurs devront coopérer pour faire du DMA une réussite réglementaire. Il serait regrettable que cette nouvelle ère commence par un faux départ, ce qui se produira si les gardiens ne s’engagent pas de manière constructive avec les tiers », poursuit la lettre.

Parmi les signataires figurent les sociétés Adevinta, Allegro, Billiger, CENEO, Compare Group, Ecosia, Element, FAVI, Heureka Group, Idealo, Kelkoo, Ladenzeile, Le Guide.com, OLX, OpenXchange, Parther Holding, preis.de, Prisjakt, Proton. , Qwant, Runnea, Schibsted, soluté et Vipps.

Concernant les associations professionnelles, l’initiative a été soutenue par la Coalition for App Fairness, la Coalition for Competitive Digital Markets, la European Digital SME Alliance, le European Publishers Council, la European Tech Alliance, eu travel tech, iconomy, l’Internet Economy Foundation et News. Europe des médias.

La lettre est particulièrement importante dans la mesure où les signataires représentent des milliers d’entreprises en concurrence directe avec les grandes entreprises technologiques impliquées, dont certaines ont participé en tant que plaignantes à des enquêtes en matière de concurrence comme l’affaire phare de Google Shopping.

La déclaration se termine en demandant « à la Commission européenne et au Parlement européen d’utiliser tout ce qui est en leur pouvoir pour garantir que les contrôleurs respectent à la fois la lettre et l’esprit du DMA ».

[Edited by Nathalie Weatherald]

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