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Dans un revirement surprenant, le président du Conseil européen Charles Michel a déclaré vendredi (26 janvier) qu’il avait décidé de retirer sa candidature aux élections européennes et qu’il prévoyait de terminer son mandat.
La décision inattendue de Michel intervient six jours avant un sommet décisif des dirigeants de l’UE censé discuter du soutien financier du bloc à l’Ukraine.
« Je ne veux pas de cette décision [to run for parliament] pour nous détourner de notre mission ou saper cette institution et notre projet européen, ni être utilisé de quelque manière que ce soit pour diviser le Conseil européen, qui, je crois, doit œuvrer sans relâche pour l’unité européenne », Michel a écrit dans une déclaration sur sa page Facebook.
« Je ne serai pas candidat aux élections européennes » de juin, a déclaré Michel dans le communiqué, ajoutant qu’il achèverait désormais le reste de son mandat au Conseil européen qui se termine en novembre.
« Les attaques personnelles prennent de plus en plus le pas sur les arguments factuels – je pense que cela fausse le discours démocratique objectif.», a écrit Michel.
« Ce [decision] a également conduit à des réactions extrêmes – non pas au sein du Conseil européen mais à l’extérieur – à l’idée de me présenter aux élections européennes, raccourcissant mon mandat et avançant de quelques mois celui de mon successeur », a écrit Michel.
Son revirement, selon Michel, était dû à des « réactions extrêmes » et à des « attaques personnelles ».
« Sur le plan personnel, cela m’amène à réfléchir sur le sens et l’impact de mon engagement électoral auquel j’ai consacré 30 ans de ma vie, non seulement pour moi mais aussi pour mes proches », a-t-il ajouté.
Le retrait de Michel intervient 20 jours après avoir annoncé qu’il se présenterait en tête de liste de son parti belge de centre-droit, le Mouvement réformateur (MR), dont il est un ancien leader, aux élections au Parlement européen du 6 au 9 juin.
Son élection l’aurait contraint à démissionner avant la fin de son mandat au Conseil européen, prévue le 30 novembre, soit au plus tard lors de sa prestation de serment devant le nouveau Parlement européen, lors de la plénière de la mi-juillet.
La décision de se présenter comme candidat eurodéputé en Belgique, où il était presque certain de remporter un siège, a été critiquée par certains responsables politiques, la qualifiant de manquement à ses devoirs envers les dirigeants du bloc.
Comme Euractiv l’avait alors rapporté, sa précédente annonce surprise était susceptible de forcer les forces pro-européennes à accélérer les négociations sur les postes les plus élevés de l’UE après les élections de juin.
Cela serait également dû au risque que le Premier ministre hongrois Viktor Orbán soit sur le point de prendre la tête du Conseil européen par intérim, son pays assurant la présidence semestrielle de l’UE, si l’UE à 27 n’était pas parvenue à se mettre d’accord sur un accord. successeur avant la démission de Michel.