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L’eurodéputée socialiste belge Marie Arena, dont le domicile à Bruxelles a été perquisitionné en juillet dernier dans le cadre du scandale de corruption du « Qatargate » au Parlement européen, a été interrogée par les enquêteurs vendredi 9 février, selon son avocat.
Protégée par son immunité parlementaire, Arena ne peut à ce stade faire l’objet d’un mandat d’arrêt.
Arena fait partie d’un groupe de personnalités politiques soupçonnées d’avoir accepté de l’argent en échange de leur aide au Parlement du Qatar et du Maroc. Arena et les pays cités ont fermement nié toute implication.
Plus d’un an après l’éclatement du scandale, l’homme politique socialiste a été interrogé pour la première fois, a déclaré à l’AFP son avocate Michele Hirsch.
« Elle a répondu longuement à toutes les questions qui lui ont été posées, expliquant son travail au Parlement européen, ses engagements et ses réalisations en faveur des droits de l’homme », a-t-elle déclaré.
L’une des six perquisitions effectuées en juillet à son domicile et dans son entourage a permis de découvrir 280 000 euros en espèces au domicile de son fils, qui habite à côté, selon une source proche du dossier.
Mais cet argent « n’a rien à voir avec le Qatargate », a-t-elle déclaré dans un entretien aux quotidiens belges Le Soir et La Libre Belgique. « Je n’ai rien à voir avec cette affaire », a déclaré l’homme de 57 ans.
Le scandale a éclaté le 9 décembre 2022, lorsque des descentes de police à Bruxelles ont découvert 1,5 million d’euros en espèces au domicile de l’eurodéputée grecque Eva Kaili et de l’ancien eurodéputé italien Pier Antonio Panzeri.
Ils font partie des sept personnes inculpées jusqu’à présent. Deux autres députés européens, Andrea Cozzolino et Marc Tarabella, ont également été inculpés dans le cadre de l’enquête du parquet belge.
Le nom d’Arena a été cité dans l’enquête car elle est connue comme associée de Panzeri.