Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
Tvoici une valeur de divertissement à l’ancienne dans ce western nordique dur, bien que légèrement absurde, une œuvre musclée, impétueuse et bien photographiée du réalisateur danois Nikolaj Arcel, co-écrite avec Anders Thomas Jensen. Il est adapté du best-seller de 2020 Le capitaine et Ann Barbara d’Ida Jessen, lui-même vaguement inspiré d’une histoire vraie de l’histoire du Danemark sur le capitaine de l’armée à la retraite du XVIIIe siècle devenu agriculteur Ludwig von Kahlen.
Kahlen a obtenu la permission royale de cultiver la lande anarchique et désolée du Jutland, une aventure théoriquement lucrative qui ne récompenserait que les plus courageux et les plus fanatiquement engagés. Mads Mikkelsen incarne Kahlen avec une imperturbabilité au visage de granit et le genre de force silencieuse qui fait de lui un Gary Cooper européen. Ce film imagine des intrigues secondaires romantiques et dramatiques pour ce féroce pionnier – ainsi que des opinions libérales sur l’ethnicité qui n’ont probablement jamais troublé le vrai Kahlen.
Amanda Collin (de Raised By Wolves sur HBO TV) incarne Ann Barbara, la femme d’un paysan en fuite qui se réfugie chez Kahlen et tombe amoureuse de lui, tandis que Simon Bennebjerg joue le rôle de panto-méchant de De Schinkel, un propriétaire terrien cruel et effacé proche. Kahlen qui entreprend de détruire ce parvenu. Il y a une comédie noire du genre semi-intentionnel lorsque De Schinkel torture un paysan devant une foule d’invités consternés et que son factotum lui murmure avec tension à l’oreille qu’il « perd la foule ». Sa fiancée Edel (Kristine Kujath Thorp) est une jolie aristocrate norvégienne qui a un penchant improbable pour notre héros brutal. Kahlen poursuit obstinément son travail agricole avec l’aide d’une petite fille d’une bande tatare de voyageurs roms, Anmai Mus (Melina Hagberg), diabolisée pour sa peau foncée.
Comme le film A Royal Affair d’Arcel de 2012, il s’agit de la période de « régence prolongée » de l’histoire danoise au XVIIIe siècle, un peu comme la folie britannique de George III. Le film précédent parlait du médecin qui a effectivement dirigé le Danemark pendant un an alors que Christian VII était fou ; La Terre Promise se déroule sous le règne de son prédécesseur Frédéric V qui, ivre, laissait les choses à ses conseillers. C’est une histoire regardable quoique légèrement sentimentale et Mikkelsen lui donne du sérieux et de la force.