Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
Une importante ONG de défense de la liberté de la presse a fait état d’une augmentation choquante du nombre d’assassinats de journalistes sur le terrain au cours de l’année dernière.
Le nombre de journalistes tués dans le monde l’année dernière était proche d’un record annuel, a constaté une ONG clé, la guerre à Gaza étant de loin la principale cause de cette augmentation.
Selon le Comité pour la protection des journalistes (CPJ), 99 journalistes dans le monde ont été tués en 2023. Alors que les décès ont été enregistrés dans 19 pays, 72 sur 99 étaient des journalistes palestiniens tués lors des attaques israéliennes sur Gaza.
En fait, l’ONG rapporte que « plus de journalistes ont été tués au cours des trois premiers mois de la guerre entre Israël et Gaza qu’il n’y en a jamais eu dans un seul pays sur une année entière ».
« Les journalistes de Gaza témoignent en première ligne », a déclaré la directrice générale du CPJ, Jodie Ginsberg.
« L’immense perte subie par les journalistes palestiniens dans cette guerre aura des impacts à long terme sur le journalisme, non seulement dans les territoires palestiniens mais aussi dans la région et au-delà », a ajouté Ginsberg.
Transparence refusée
La guerre à Gaza a vu les journalistes lutter pour accéder à des zones cruciales, ce qui rend difficile de rendre compte de l’ampleur des ravages du conflit tout en assurant leur sécurité. Mais le CPJ affirme également qu’il existe des preuves que les journalistes ont été spécifiquement ciblés par l’armée israélienne.
« Le CPJ a fait part de ses inquiétudes quant au ciblage apparent des membres des médias par l’armée israélienne et enquête pour savoir si une douzaine de journalistes tués dans la guerre entre Israël et Gaza ont été délibérément pris pour cible par des soldats israéliens », a indiqué l’ONG dans un communiqué de presse.
« Comme le montre le rapport « Deadly Pattern » du CPJ de mai 2023, l’armée israélienne a un long historique d’assassinats de journalistes en toute impunité, avec au moins 20 journalistes tués en 22 ans et personne n’est tenu pour responsable de leur mort. Le CPJ a exigé des mesures rapides et transparentes. , et des enquêtes indépendantes sur tous les meurtres de journalistes par Tsahal et a averti à plusieurs reprises les parties belligérantes que les journalistes sont des civils au regard du droit international et que les prendre délibérément pour cible constitue un crime de guerre.
Pendant ce temps, en dehors de la guerre entre Israël et Gaza, le nombre de journalistes tués dans le monde a diminué par rapport aux dernières années. Cependant, le CPJ désigne plusieurs pays comme des lieux particulièrement meurtriers pour les journalistes, parmi lesquels le Mexique, la Somalie et les Philippines.
Le rapport souligne également que le nombre d’homicides n’est pas la seule mesure de la sécurité des journalistes.
« Même là où le nombre global d’assassinats de journalistes a diminué, les attaques non meurtrières persistent et les journalistes continuent d’être emprisonnés en nombre record, un indicateur clé de la situation de la liberté de la presse. »