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Comparaissant en personne pour la Couronne, le directeur des poursuites pénales de l’Afrique du Sud, Martin Hinton KC, s’est vu accorder un ajournement de six semaines par le magistrat John Wells pour une audience de détermination des accusations.
Hinton a déclaré que le délai était nécessaire pour qu’un rapport d’un pathologiste et un rapport d’un reconstructeur d’accident puissent être complétés et remis à l’accusation avant que celle-ci puisse procéder.
Vêtu d’un pantalon chino et d’une chemise en lin blanc par une chaude matinée d’Adélaïde, Randhawa était entouré de partisans au tribunal, dont sa mère Amreeta Stara, hypnothérapeute et « coach transformationnelle ».
L’adolescent d’Encounter Bay aurait imprudemment heurté Stephens avec sa voiture après une interaction nocturne au bord de la route à Goolwa le 17 novembre.
Il est accusé d’avoir fui les lieux et d’avoir par la suite omis de répondre aux questions de la police, avant de finalement se rendre.
Stephens est décédé à l’hôpital entouré de ses amis et de sa famille, dont son père, le commissaire de police Grant Stephens, la nuit suivante.
Personnalité bien connue et populaire en raison de sa gestion de l’État pendant la pandémie de COVID-19, le chagrin de Stephens a touché une corde sensible auprès du public sud-australien.
Une foule de plus de 1 000 personnes en deuil ont rendu hommage à l’apprenti métier lors d’un service commémoratif émouvant à l’Adelaide Oval plus tard dans le mois.
Randhawa, 19 ans, n’a encore plaidé aucune de ses quatre accusations, notamment celle d’avoir causé la mort par conduite dangereuse.
Il reste en liberté sous caution, sous certaines conditions, notamment celle de vivre au domicile de sa mère, de rendre son passeport et de ne pas monter sur le siège conducteur d’un véhicule.
Il doit revenir devant le tribunal en avril.