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Une mission d’établissement des faits de l’ONU (FFM) enquêtant sur la réponse de l’Iran aux manifestations de 2022 a dénoncé les actions du régime comme constituant des crimes contre l’humanité. Lancé en novembre 2022, à la suite de manifestations à l’échelle nationale déclenchées par la mort de Mahsa Amini en détention, le rapport de la FFM affirme que le gouvernement iranien a systématiquement violé les droits humains, ciblant particulièrement les femmes et les filles.
L’enquête de la FFM, corroborant les informations provenant de sources telles que The Guardian, a mis en évidence une tendance déchirante de ciblage sexiste.
Les manifestantes ont été délibérément ciblées, faisant face à des tirs à bout portant visant leurs visages et leurs parties génitales – un témoignage flagrant de la brutalité du régime envers ses propres citoyens.
Violations graves
Le rapport répertorie une litanie d’atrocités, notamment des meurtres, des emprisonnements, des tortures, des viols et des persécutions, perpétrées contre des civils exprimant leur dissidence, notamment des femmes et des filles.
Human Rights Watch estime à plus de 500 le nombre de morts, dont 68 enfants, et à plus de 20 000 arrestations lors des manifestations.
Décrivant les actions du régime comme une attaque systématique contre les droits fondamentaux, le FFM souligne la persécution ciblée des femmes, des filles et des défenseurs de l’égalité des sexes.
Les personnes arrêtées, dont des enfants, ont été victimes de passages à tabac, de viols, d’électrocution et de nudité forcée, révélant une campagne de terreur orchestrée par les autorités iraniennes.
Le rapport condamne le mépris flagrant du régime pour une procédure régulière, mettant en avant neuf exécutions sans procès équitable. Ces exécutions extrajudiciaires constituent une privation illégale de la vie et contreviennent aux interdictions internationales contre la torture et les mauvais traitements. Malgré les appels à la coopération, les autorités iraniennes ont rejeté les demandes de dialogue de la FFM.
Le rapport de l’ONU exige des autorités iraniennes qu’elles rendent des comptes, les exhortant à rendre justice, vérité et réparations aux victimes et à leurs familles.
Alors que le rapport fait surface, les organisations de défense des droits humains soulignent le ciblage incessant du gouvernement iranien contre les familles, les journalistes, les militants, les avocats et les médecins des manifestants. Les récentes conclusions d’Amnesty International ont également mis en lumière une répression draconienne, en particulier contre les femmes et les filles, faisant respecter les lois sur le port obligatoire du hijab et les soumettant à la surveillance, au maintien de l’ordre et à des châtiments inhumains.
(Avec la contribution des agences)