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- Vendredi, Elon Musk a menacé d’un « nom et d’une honte thermonucléaires » les entreprises qui ont suspendu la publicité sur Twitter.
- Avant la déclaration, Musk a blâmé la pression des groupes d’activistes pour la pause sur les dépenses publicitaires.
- Avant la prise de contrôle, Musk a promis aux investisseurs que Twitter ne deviendrait pas un « paysage d’enfer gratuit pour tous » dans une lettre.
Le chaos entourant la prise de contrôle de Twitter par Elon Musk continue de monter après que le milliardaire de la technologie a apparemment menacé les annonceurs dans un tweet vendredi soir.
Musk a déclaré qu’un « nom et une honte thermonucléaires » arrivait aux entreprises qui ont suspendu leur publicité en attendant de voir la direction que Twitter prend sous sa nouvelle direction. Le tweet est venu en réponse à une suggestion de Mike Davis, l’ancien avocat en chef pour les nominations au président du pouvoir judiciaire du Sénat Chuck Grassley, que Musk liste les dissidents dans le but de lancer un « contre-boycott ».
—Elon Musk (@elonmusk) 4 novembre 2022
Le message inquiétant est venu des heures après Musc blâmé des groupes d’activistes pour avoir fait pression sur les annonceurs et provoqué une « baisse massive des revenus » de Twitter.
« Extrêmement foiré ! Ils essaient de détruire la liberté d’expression en Amérique », a écrit Musk.
Avant de prendre les rênes de Twitter, Musk a tweeté une lettre ouverte aux annonceurs promettant que la plate-forme ne deviendrait pas un « paysage d’enfer gratuit pour tous ». Des entreprises telles que General Motors, Volkswagen, Audi et Pfizer ont toutes suspendu leur publicité sur Twitter, exprimant leur inquiétude face aux menaces potentielles à la sécurité de la marque et au passage à la stratégie de modération du contenu.
Dans un tweet samedi, le PDG de Luma Partners, Terence Kawaja, a répondu à la menace de Musk envers les annonceurs en appelant à son rôle dans la génération d’incertitude autour de l’entreprise.
—Térence Kawaja (@tkawaja) 5 novembre 2022
Musk a reçu un contrecoup après avoir licencié des milliers de travailleurs au cours de sa première semaine dans l’entreprise et mis en place un abonnement controversé à la vérification des chèques bleus de Twitter pour 7,99 $.
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