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Le gouvernement américain envisagerait de proposer un accord de plaidoyer au fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, mais ses avocats ont déclaré dans un communiqué qu’il n’y avait « aucune indication » que Washington fasse preuve de clémence à l’égard d’Assange.
Selon un le journal Wall Street rapport, le ministère américain de la Justice a étudié les moyens pour WikiLeaks en 2010 de milliers de documents américains classifiés liés aux guerres en Afghanistan et en Irak.
Quel serait le plan de clémence américain pour Julian Assange ?
Le rapport affirmait qu’un plan à l’étude serait d’abandonner les 18 accusations actuelles en vertu de la loi sur l’espionnage à condition qu’Assange plaide coupable de mauvaise manipulation de documents classifiés.
Le rapport affirme en outre qu’Assange a déjà passé cinq ans en détention au Royaume-Uni. Il affirme également qu’il serait probablement bientôt libéré si l’accord était conclu.
Cependant, l’équipe juridique d’Assange a déclaré qu’elle n’était pas au courant de cette évolution.
Regardez aussi | L’affaire d’extradition du fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, revient devant un tribunal britannique
L’un des avocats de la défense d’Assange, Barry Pollack, a déclaré dans un communiqué : « Il est inapproprié que les avocats d’Assange fassent des commentaires alors que son cas est devant la Haute Cour du Royaume-Uni, sinon pour dire que nous n’avons reçu aucune indication quant à l’intention du ministère de la Justice de résoudre le problème. «
Et ensuite ?
Un tribunal de Londres décidera dans les semaines à venir s’il convient d’accorder à Assange un nouveau droit de faire appel de son extradition. Il est détenu à la prison de haute sécurité de Belmarsh.
Il aurait été trop malade pour se rendre à la Royal Courts of Justice pour assister à la dernière audience du mois dernier.
Si les deux juges se prononçaient contre Assange, il aurait épuisé toutes les options britanniques pour contester l’extradition, et la seule voie qui lui resterait serait la Cour européenne des droits de l’homme.
Ce tribunal pourrait potentiellement ordonner au Royaume-Uni de ne pas procéder à l’extradition tant qu’il n’aura pas entendu l’affaire.
(Avec la contribution des agences)