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Le président russe Vladimir Poutine a affirmé que les hommes armés qui ont attaqué une salle de concert à Moscou et tué 133 personnes avaient des liens avec l’Ukraine, une allégation que Kiev a complètement rejetée.
« Ils ont tenté de s’enfuir et se dirigeaient vers l’Ukraine, où, selon des informations préliminaires, une fenêtre leur était ouverte du côté ukrainien pour franchir la frontière », a déclaré M. Poutine.
Poutine a allégué ce lien lorsqu’il a rompu son silence sur l’attaque 20 heures après qu’au moins quatre hommes armés ont infiltré l’hôtel de ville de Crocus à Krasnogorsk, à la périphérie de la capitale russe.
Le Service fédéral de sécurité (FSB) russe avait précédemment affirmé dans un communiqué un lien entre l’Ukraine et les hommes armés, a rapporté l’agence de presse russe TASS.
« Les terroristes envisageaient de traverser la frontière et avaient des contacts du côté ukrainien », indique le message.
Les partisans de Poutine sur les réseaux sociaux a lancé cette théorie sans fondement immédiatement après l’attaque.
Kiev a nié toute implication et a qualifié les allégations du FSB de « provocation », selon le Kyiv Post.
Andrei Yusov, représentant de la Direction principale du renseignement (HUR) du ministère de la Défense, rejeté les déclarations du FSB sont « absurdes ».
Poutine a rejeté les avertissements américains
Les quatre hommes armés ont été arrêtés, a déclaré Poutine, aux côtés de sept autres détenus.
Selon la commission d’enquête russe : « Le nombre de morts va encore s’alourdir. Selon les données préliminaires, les causes des décès étaient des blessures par balle et des empoisonnements par des produits de combustion. »
ISIS-K, l’un des groupes régionaux les plus actifs de l’État islamique, a revendiqué la responsabilité de l’attaque.
Le groupe militant avait déjà fait la une des journaux pour avoir orchestré l’attentat suicide à la bombe Aéroport international Hamid Karzaï de Kaboul qui a tué 13 soldats américains et 169 civils en 2021.
Poutine a appelé à la coopération internationale pour lutter contre le terrorisme.
« Nous resterons unis contre cet ennemi commun du terrorisme international, peu importe où il montre sa vilaine tête », a-t-il déclaré, selon Politico.
Trois jours seulement avant le carnage, Poutine avait qualifié de « chantage » les avertissements américains concernant un incident.