Customize this title in french Priscilla la fête ! critique – les danses musicales du juke-box reviennent à un désert de divas | Théâtre

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je J’attends avec impatience le jour où les comédies musicales des juke-box perdront leur emprise sur nos scènes, mais si les chansons d’autres personnes doivent être utilisées pour apporter l’émotion d’une histoire, Priscilla la Fête ! a trouvé la meilleure méthode pour cela. Autrement dit : accélérez votre récit pour enivrer votre public, danser et se réjouir du chaos étincelant du camp.

Gay Cliché (Trevor Ashley) est notre hôte bruyant pour la soirée, oscillant entre le récit de l’héritage des Aventures de Priscilla, reine du désert, le film australien de 1994 devenu musical, et la participation des acteurs alors qu’ils patinent autour d’une bouchée. version dimensionnelle de l’intrigue. À chaque révélation émotionnelle exagérée, une chanson pop banale est insérée, la plupart des choix originaux de la comédie musicale étant échangés contre des choix toujours plus modernes, avec des voix dirigées par un trio éblouissant de Divas (Grace Galloway, Gracie Lai et Sara Louise). ). Les départements créatifs mettent leur poids derrière chaque chanson, chaque costume et chaque séquence de danse étant plus extravagants les uns que les autres. Mais il est difficile de se connecter émotionnellement lorsque le vandalisme homophobe mène de manière absurde à une interprétation larmoyante de Born This Way de Lady Gaga.

La femme trans au cœur du drame… Dakota Starr dans le rôle de Bernadette. Photographie : Marc Brenner

L’attention de l’histoire est attirée, mais elle manque curieusement l’occasion de se concentrer sur la femme trans en son cœur. Avec remarquablement peu d’histoires racontées sur les femmes trans, il est dommage que Bernadette (une aimable Dakota Starr) n’ait jamais vraiment eu l’occasion de briller. Quelques moments de choix discutables traversent le reste de l’histoire : la femme de Bob, Cynthia, est un stéréotype chatoyant et l’utilisation d’une coiffe amérindienne pour un numéro de danse semble tout à fait inutile.

Une fois que vous avez examiné les détails et que vous vous êtes penché sur le spectacle, il est facile de voir à quel point ce spectacle sera un succès. Le drame de la seconde moitié est plus brillant, plus audacieux, plus idiot. Comme ils semblent s’amuser davantage sur scène, nous aussi. La direction de la scène guide en douceur le public en mouvement autour des blocs en mouvement et fait de la piste de danse une partie merveilleusement active du spectacle.

Il est temps de danser… Priscilla la fête ! Photographie : Marc Brenner

Avec l’influence fortement aseptisée de RuPaul’s Drag Race, Priscilla the Party ! est prêt à l’emploi pour les poules arrosées. Ce n’est guère risqué – une tenue synthétique avec un dos ouvert est cousue sur un tissu couleur chair plutôt que de laisser quoi que ce soit pendre – mais quelques verres dedans, ça ne peut s’empêcher d’être très amusant. Nous continuons à danser longtemps après que les acteurs aient quitté la scène.

Chez Here at Outernet, Londres, jusqu’au 29 septembre.

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