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TLe maître câlin du kung-fu est de retour. Jack Black revient dans le rôle du panda Po, amoureux des raviolis, la plus improbable des machines de combat maigres et méchantes. Cela fait huit ans depuis Kung Fu Panda 3, et d’après les preuves ici, le retard ne peut pas être imputé au fait que KFP4 est un travail d’amour, le produit de l’équipe du studio d’animation DreamWorks qui a déployé d’énormes efforts. C’est un ouragan de scènes de combat burlesques (certaines en fait très drôles) et énergiques adaptées à l’âge, mais il lui manque la douceur et le charme de la franchise à son meilleur. Il a échoué au test de torsion de ma fille de sept ans, qui se tortillait sur son siège vers l’heure de jeu.
L’intrigue est un peu trop complexe pour son public cible de jeunes enfants, même si les scénaristes ont pris soin de la faire fonctionner pour les débutants – aucune expérience préalable de Kung Fu Panda n’est nécessaire. Cela s’ouvre avec la promotion de Po de son rôle de Dragon Warrior à celui de chef spirituel de la vallée, succédant à son mentor Shifu (Dustin Hoffman – aucune dépense n’a été épargnée pour la distribution vocale). Mais avant de pouvoir nommer son successeur, Po appréhende Zhen (Awkwafina), un renard voleur et avisé. Les deux forment un brillant double acte : Black est adorable, Awkwafina formidable dans le rôle du sage cynique.
Zhen met en garde Po contre un nouveau méchant dangereux, la sorcière Caméléon (Viola Davis), qui s’avère assez inoubliable en ce qui concerne les méchants de la franchise (pas un patch sur Ian McShane ou Gary Oldman dans les films précédents). Les deux plus grands rires du cinéma sont venus des adultes : d’abord, dans une scène hilarante impliquant des taureaux dans un magasin de porcelaine ; puis quelques rires ironiques lorsque Po essaie de méditer – ses pensées s’égarant rapidement vers son ventre : « Paix intérieure… paix intérieure… dîner s’il vous plaît… dîner avec des petits pois. Mais l’enfant de sept ans haussa les épaules et dit sans enthousiasme : « Le panda est… amusant. »