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Comme nombre de compositeurs américains de la génération trentenaire, Timo Andres prend le minimalisme de John Adams et Philip Glass comme point de départ de son langage musical éclectique. Mais comme le montre le piano solo Colorful History, qu’Andres lui-même joue comme pièce maîtresse de cette collection, sa musique explore un paysage musical beaucoup plus vaste.
La pièce solo, une chaconne de complexité croissante, est encadrée par deux concertos : The Blind Banister pour piano de 2017 (composé pour Jonathan Biss, mais avec Andres comme soliste ici) et Upstate Obscura pour violoncelle. Le concerto pour piano (le troisième d’Andres pour l’instrument) a été commandé dans le cadre d’une série inspirée des cinq exemples de Beethoven : pour Andres, le couple était avec le deuxième concerto pour piano, mais il n’y a aucune trace de pastiche ou d’allusion beethovénien dans sa musique. Au lieu de cela, l’œuvre commence presque comme une étude de piano de Glass, même si lorsque l’orchestre entre, elle bifurque rapidement vers un territoire qui est bien celui d’Andres.
D’une manière très différente, Upstate Obscura, pour orchestre de chambre et violoncelle, est tout aussi original et saisissant. Andres n’hésite jamais à permettre au violoncelle solo de faire ce qu’il fait si bien en soi : lancer une longue mélodie expressive, tandis que l’orchestre lui fournit une toile de fond scintillante et palpitante. Et le soliste, Inbal Segev, apprécie clairement les opportunités lyriques qu’Andres lui offre. C’est un disque très abouti à tous points de vue.
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