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Un responsable pakistanais a déclaré vendredi 29 mars que la Chine avait interrompu la construction de deux grands projets de barrages au Pakistan après que cinq ingénieurs chinois ont été tués dans un attentat suicide dans la province de Khyber Pakhtunkhwa, au nord-ouest du pays, en début de semaine.
S’adressant à l’agence de presse AFP, un haut responsable du ministère de l’Intérieur du Khyber Pakhtunkhwa a déclaré : « Ils ont exigé de nouveaux plans de sécurité de la part du gouvernement ».
L’attaque
Mardi 26 mars, la police pakistanaise a déclaré qu’un kamikaze avait percuté un véhicule contre un convoi de cinq ingénieurs chinois travaillant sur un projet de barrage à Khyber Pakhtunkhwa. Citant les autorités, un rapport de l’agence de presse Reuters a déclaré que les ingénieurs étaient en route depuis Islamabad vers leur camp sur le chantier de construction du barrage de Dasu.
L’attentat a tué les ingénieurs ainsi que leur chauffeur, de nationalité pakistanaise. Il s’agit de la troisième attaque majeure contre les intérêts chinois au Pakistan en une semaine. Les deux premières attaques ont visé une base aérienne navale pakistanaise et un port stratégique utilisé par la Chine dans la province du Baloutchistan, au sud-ouest du pays, où Pékin investit des milliards dans des projets d’infrastructures.
La Chine a exhorté le Pakistan à enquêter de manière approfondie sur cet attentat suicide.
Le Premier ministre pakistanais appelle à une enquête conjointe
Mercredi, le Premier ministre pakistanais Shehbaz Sharif a demandé une enquête conjointe des responsables militaires et civils sur l’attaque de mardi. Sharif a présidé une réunion de responsables militaires et civils qui ont examiné les dispositions de sécurité pour la protection des ressortissants chinois et de leurs intérêts, a déclaré à Reuters le ministre de l’Information Attaullah Tarar, mais n’a pas donné plus de détails.
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Aucun groupe n’a revendiqué l’attentat suicide de mardi.
Dasu, site d’un barrage majeur, a été attaqué dans le passé, avec l’explosion d’un bus en 2021, tuant 13 personnes, dont neuf Chinois, bien qu’aucun groupe n’ait revendiqué la responsabilité.
(Avec la contribution des agences)