Customize this title in french Fallout to Baby Reindeer : les sept meilleures émissions à diffuser à la télévision cette semaine | Télévision et radio

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words

Choix de la semaine

Tomber

En tant que thriller post-apocalyptique, basé sur les jeux informatiques Fallout, cette série partage un certain ADN avec The Last of Us. Après qu’une attaque nucléaire ait frappé les États-Unis, nous avançons quelques siècles et rencontrons un groupe de survivants qui ont formé une société clandestine dans des bunkers nucléaires connus sous le nom de The Vaults. Finalement, les événements obligent Lucy (Ella Purnell), habitante du coffre-fort, à s’aventurer au-dessus du sol. C’est sournoisement drôle par endroits – un groupe d’envahisseurs sauvages venus de la surface sont simultanément déterminés à un carnage violent et enchantés par le goût du gâteau de mariage. Il existe également une nette dimension polémique concernant le caractère inévitable avec lequel l’humanité crée ses propres frontières et entretient ses propres divisions.
Prime Video, à partir du jeudi 11 avril


Bébé renne

Expression traquée… Bébé renne. Photographie : Netflix

Le comédien Richard Gadd a rencontré sa harceleuse Martha (Jessica Gunning) alors qu’il travaillait dans un pub. Elle prétendait être une avocate de renom, mais elle n’avait pourtant pas les moyens de s’offrir une tasse de thé. Leur relation n’est pas devenue beaucoup plus claire – ce qui a commencé lorsque Gadd ressentait de la sympathie pour une personne apparemment vulnérable a culminé avec l’envoi de 41 000 e-mails et 350 heures de messages vocaux. Ce drame sombre explore l’expérience traumatisante dans un style captivant. Surtout, Gadd ne se laisse pas échapper : il a encouragé l’intérêt de Martha et, à un moment donné, l’a suivie chez elle. Il n’y a pas de récit de victime ici – juste l’histoire de deux vies troublées qui s’entrelacent de manière désordonnée.
Netflix, à partir du jeudi 11 avril


La fable

Si le regard pouvait tuer… Fable, série dramatique animée. Photographie : Disney

De plus en plus, l’anime est à Disney+ ce que le véritable crime est à Netflix. Cette dernière série est une adaptation d’un manga créé par Katsuhisa Minami il y a dix ans. C’est une histoire bien réalisée et sèchement drôle d’un tueur à gages hors de l’eau. Fable (exprimé par Kazuyuki Okitsu) a consacré toute sa vie à devenir un assassin parfait. Il vient de connaître une année record, avec plus de victoires que jamais auparavant. Malheureusement, des problèmes se préparent et Fable reçoit l’ordre de son maître de faire profil bas et de ne tuer personne pendant un an. Notre héros meurtrier pourra-t-il éviter les ennuis ?
Disney+, à partir du dimanche 7 avril


Débloqué : une expérience en prison

Sécurité minimale… Débloqué : une expérience en prison. Photographie : Netflix

L’Arkansas ne semble pas immédiatement être un foyer probable de pensée progressiste en matière de criminalité et de châtiment. Mais comme le suggère ce documentaire, le shérif du comté Eric Higgins est en quelque sorte un franc-tireur. Sa réponse à une crise des effectifs et à la mauvaise conduite des prisonniers semble courageusement contre-intuitive : pendant six semaines, il n’y aura ni serrures ni agents. Le chaos régnera-t-il ? Ou un goût d’autonomie et de responsabilité pourrait-il avoir un effet civilisateur sur ces criminels endurcis ? Une expérience fascinante sur la nature humaine et le pouvoir de la confiance.
Netflix, à partir du mercredi 10 avril


Anthracite

Performances de pointe… Anthracite. Photographie : Christine Tamalet/Netflix

Un thriller français pittoresque mais sombre explorant les conséquences d’un suicide de masse en 1994 dans un village alpin isolé. Lorsqu’une femme est assassinée 30 ans plus tard, d’anciennes blessures se rouvrent. Cependant, le parfait bouc émissaire vient apparemment d’arriver en ville : le jeune délinquant Jaro, qui tente de prendre un nouveau départ mais se retrouve accusé de meurtre. Avec l’aide d’Ida, une adolescente excentrique à la recherche de son père disparu, Jaro tente de prouver son innocence. Les performances et les dialogues semblent un peu maladroits mais la prémisse est intrigante.
Netflix, à partir du mercredi 10 avril


Coup de cœur élevé

Des chiffres louches… Chloe Hayden, Ayesha Madon et James Majoos dans Heartbreak High. Photographie : Johan Platt/Netflix/Avec l’aimable autorisation de Netflix

Ce drame australien pour adolescents des années 90, que Netflix a redémarré avec succès pour la génération post-Euphoria (bien que peut-être pas aussi osé), est de retour pour une deuxième saison. À notre retour, Amerie (Ayesha Madon) est à nouveau une figure haineuse. Elle y est habituée maintenant, mais cette fois, cela ne semble pas être de sa faute. Quelqu’un veut l’attraper. Heureusement, ses amis fidèles sont là pour dresser une liste de suspects – qui est inévitablement presque aussi longue que le registre du Hartley High lui-même. Ailleurs, un nouveau professeur de sport fait rager les hormones des adolescents de manière incontrôlable.
Netflix, à partir du jeudi 11 avril


Franklin

Homme des nouveaux États… Benjamin (Michael Douglas) et son fils Temple (Noah Jupe) à Franklin. Photographie : Rémy Grandroques/Apple TV

Une histoire d’intrigue historique dans ce drame d’époque (basé sur un livre de Stacy Schiff lauréat du prix Pulitzer) qui met en vedette Michael Douglas dans le rôle du père fondateur des États-Unis, Benjamin Franklin. Nous rencontrons Franklin alors que la nation connaît des douleurs d’accouchement et que, alors que les Britanniques menacent de prendre le contrôle, son indépendance est en jeu. Franklin parviendra-t-il à convaincre les Français d’offrir une aide militaire et financière ? Un voyage à Paris nous attend, mais notre héros étonnamment espiègle n’a pas seulement en tête la diplomatie. C’est un tarif robuste mais légèrement professionnel.
Apple TV+, à partir du vendredi 12 avril

Source link -57