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Investing.com– Les prix du pétrole ont fortement chuté lundi au début des échanges asiatiques après qu’Israël a retiré ses soldats de certaines parties de Gaza et s’est engagé à reprendre le dialogue sur un éventuel cessez-le-feu avec le Hamas.
Cette décision représente une potentielle désescalade dans la guerre de longue date, dont les inquiétudes ont contribué de manière déterminante aux prix du pétrole ces dernières semaines.
Les prix du pétrole étaient également ouverts à certaines prises de bénéfices après avoir atteint leur plus haut niveau en cinq mois la semaine dernière, après que l’Iran a menacé d’engager une action militaire contre Israël en raison de frappes présumées contre une ambassade en Syrie.
expirant en juin a chuté de 1,8% à 89,56 $ le baril, tandis qu’il a chuté de 1,7% à 84,63 $ le baril à 20h35 HE (00h35 GMT).
Israël et le Hamas ouvrent des négociations de cessez-le-feu en Egypte
Des équipes d’Israël et du Hamas se sont rencontrées en Égypte pour de nouvelles négociations de cessez-le-feu, le dialogue ayant lieu quelques jours seulement avant les vacances de l’Aïd cette semaine.
Israël a également retiré ses troupes du sud de Gaza, notamment à Khan Younis. Mais le pays maintient toujours ses forces dans d’autres parties de la région contestée.
Ces mesures – en particulier les pourparlers de cessez-le-feu – présentaient un certain potentiel pour une plus grande désescalade du conflit, d’autant plus que les États-Unis ont exhorté Israël à modérer son offensive contre Gaza en raison de violations des droits de l’homme.
Mais une désescalade dans la guerre entre Israël et le Hamas pourrait mettre fin à un point clé de soutien aux marchés pétroliers, à savoir que les approvisionnements en brut en provenance du Moyen-Orient seront perturbés par le conflit.
Cette notion a été un point de soutien clé pour le pétrole ces dernières semaines et devrait rester en vigueur jusqu’à la signature d’un cessez-le-feu officiel.
Les attentes en matière d’approvisionnement en pétrole serré restent en jeu
Les attentes d’un resserrement des approvisionnements en pétrole ont également fait grimper les prix du brut ces dernières semaines et continuent de jouer un rôle.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (OPEP+) ont récemment réitéré que leurs réductions de production resteraient en vigueur jusqu’à fin juin, tandis que la Russie, principal producteur, a également signalé des réductions de production plus importantes.
La production russe de carburant a également été perturbée par les frappes ukrainiennes contre les infrastructures pétrolières du pays, qui ont mis hors service plusieurs raffineries clés.
Sur le front de la demande, les données économiques positives de la Chine, principal importateur de pétrole, ont également renforcé l’optimisme, tandis que la diminution des stocks d’essence aux États-Unis a entraîné une forte demande chez le plus grand consommateur de carburant au monde.