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L’ancien président catalan et leader du parti séparatiste de droite Ensemble pour la Catalogne (JxCat), Carles Puigdemont, quittera la politique s’il ne remporte pas les élections régionales anticipées du 12 mai, a-t-il annoncé mardi 9 avril.
Dans une interview diffusée mardi par la radio RAC-1, Puigdemont, en exil en Belgique depuis 2017 et installé dans le sud de la France à Pâques, a déclaré qu’il ne se considérait pas « comme le chef de l’opposition » en Catalogne, déclarant qu’il quitterait la politique active s’il n’était pas élu président.
Les derniers sondages pointent vers une victoire du candidat du Parti socialiste catalan (PSC) et ancien ministre espagnol de la Santé, Salvador Illa, avec une course serrée pour la deuxième place entre JxCat et son rival séparatiste de gauche, la Gauche républicaine de Catalogne (ERC), de l’actuel président catalan Père Aragonès.
L’ancien président catalan a réitéré que l’indépendance de la Catalogne, la riche région du nord-est de l’Espagne qui compte environ 7,5 millions d’habitants, était un objectif que son parti « ne veut pas et ne peut pas abandonner ».
Puigdemont attend que le parlement espagnol donne le feu vert définitif à un projet controversé loi d’amnistieactuellement en préparation, qui permettrait de gracier des centaines de membres du mouvement séparatiste catalan entre 2012 et 2023, ce qui lui permettrait, en principe, de retourner en Espagne en tant qu’homme libre.
Selon des sources parlementaires, l’approbation de la norme de grâce extraordinaire pourrait avoir lieu fin mai ou début juin, coïncidant presque avec les élections européennes.
« Je ne reviendrai en Catalogne que le jour du débat d’investiture. Revenir à la présidence est un acte du pays et non du parti. Il faut que cela ait un sens institutionnel », a souligné Puigdemont.
[Edited by Alice Taylor]