La finale de la saison 26 de The Voice a vu Michael Bublé, coach novice, amener deux candidats en finale. Les performances ont varié, avec Danny et Jeremy captivant mais manquant de puissance, tandis que Sofronio a brillé avec une interprétation dynamique. Shye a enfin trouvé le bon morceau, tandis que Sydney a lutté pour se démarquer. La compétition a révélé des talents divers, laissant planer le suspense quant à l’issue finale.
Des Performances Mémorables à La Finale de The Voice
Alors que la saison 26 de The Voice touchait à sa fin lundi, le coach novice Michael Bublé semblait avoir de grandes chances de triomphe. Contrairement à ses homologues débutants, Snoop Dogg, ainsi que les vétérans Gwen Stefani et Reba McEntire, qui n’ont réussi à propulser qu’un seul de leurs candidats dans le Top 5, Bublé a réussi à amener Sofronio Vasquez et Shye en finale. La question demeure : leurs performances étaient-elles à la hauteur des attentes pour permettre à leur coach et à eux-mêmes de décrocher la victoire ? Poursuivez votre lecture pour le découvrir.
Des Talents en Compétition
Lors de sa prestation, Danny a interprété un morceau de Luke Combs, offrant un puissant rugissement qui lui est caractéristique tout en montrant une partie de sa vaste gamme vocale. Bien qu’il excelle en tant que showman, il n’a pas totalement réussi à captiver le public comme il en avait besoin pour se démarquer en tant que prétendant. Son coach a déclaré : “Tu ne me déçois jamais,” mais personnellement, j’ai pensé qu’il pouvait faire mieux avec sa voix impressionnante.
Jeremy, en reprenant un classique de Jackie DeShannon, a déclaré vouloir rassembler le public américain. Sa performance, bien que belle, a laissé planer un doute quant à sa capacité à atteindre cet objectif. Sa voix, riche et puissante, a touché son coach Snoop, qui était en larmes à la fin de la prestation, promettant même d’être présent pour les débuts de Jeremy à Broadway.
Shye, bien que talentueuse, a montré des difficultés dans le choix des chansons. Sa reprise d’un succès des années 1990 de Joan Osbourne a révélé sa voix puissante, mais n’a pas su montrer son potentiel comme l’avait fait « The Joke » de Brandi Carlile. Son coach Michael a même commenté que sa voix était si impressionnante qu’elle intimidait son pied de micro. On peut se demander si Sofronio Vasquez a ressenti la même intimidation.
Sydney, avec sa reprise de Gracie Abrams, a montré qu’elle a un bel avenir devant elle, mais n’a pas semblé prête à remporter The Voice. Sa performance avait ses moments, mais elle était souvent déséquilibrée et semblait hésitante. Snoop a remarqué qu’elle avait l’air d’une star de cinéma sans faire de commentaires sur sa voix, et même son coach a choisi de l’encourager en disant que ce n’était que le début.
Sofronio, quant à lui, a impressionné avec sa reprise du méga-hit de Sia, transformant la scène en un véritable spectacle. Il a brillamment interprété les couplets rapides, chantant avec une passion et une puissance palpables, et a même ajouté une touche de danse. Son coach a été émerveillé par sa transformation sur scène, le comparant à Superman.
Jeremy a continué à captiver le public avec sa voix exceptionnellement belle, transmettant une émotion profonde à travers chaque mot. Gwen a été impressionnée par sa capacité à allier vocalises réfléchies et émotions sincères, tandis que Snoop a salué sa maîtrise de sa voix en complément de la musique.
La performance de Danny, bien qu’accrocheuse au début avec sa reprise d’Amy Winehouse, a ensuite perdu de son authenticité, sa voix rauque semblant forcée. Snoop a apprécié l’effort personnel qu’il met dans chaque morceau, mais cette ballade ne lui a pas permis de briller autant qu’il aurait pu.
Sofronio a également émergé comme un véritable spectacle avec son numéro de The Greatest Showman, montrant une incroyable aisance sous les projecteurs et une démonstration de gamme et d’émotion authentique. Snoop a complimenté ses performances, et Michael a été touché aux larmes.
Enfin, Sydney a lutté avec une ballade de Snow Patrol, luttant pour trouver son rythme et semblant crier plutôt que chanter. Reba a encouragé la jeune candidate à se rappeler qu’elle inspire de nombreuses petites filles, soulignant son potentiel en tant que modèle.
Shye, quant à elle, a enfin trouvé la chanson idéale avec un succès de Harry Styles, la possession de la scène dès la première note. Sa prestation a démontré un niveau de contrôle et d’émotion qu’elle n’avait pas atteint auparavant. Peut-être que Sofronio ne détient pas la victoire aussi fermement qu’on le pensait.