Justin Baldoni face à des poursuites de son ex-publiciste dans le cadre du scandale Blake Lively

Justin Baldoni face à des poursuites de son ex-publiciste dans le cadre du scandale Blake Lively

Une ancienne responsable des relations publiques de Justin Baldoni, Steph Jones, accuse ce dernier de violation de contrat et de complot, en lien avec des allégations de diffamation contre sa co-star Blake Lively. Jones a poursuivi Baldoni, ainsi que son équipe, affirmant qu’ils ont orchestré une campagne malveillante. Lively a également déposé une plainte pour harcèlement sexuel et a révélé des échanges compromettants entre l’équipe de Baldoni visant à discréditer son image.

Une poursuite explosive dans le monde des célébrités

L’ancienne responsable des relations publiques de Justin Baldoni a déposé une plainte contre lui, sa société et son équipe de communication, alors qu’un scandale de diffamation prend de l’ampleur. Cette affaire concerne des allégations d’une campagne malveillante visant sa co-star dans « It Ends With Us », Blake Lively.

Accusations de rupture de contrat et de complot

Steph Jones, fondatrice de Jonesworks, accuse Baldoni d’avoir enfreint leur accord, qui stipulait un versement mensuel de 25 000 dollars. Baldoni a mis fin à leur collaboration en août, quelques mois après le début de leur contrat d’un an, suite au départ de sa responsable de communication, Jennifer Abel, qui a lancé sa propre agence.

Jones a également engagé des poursuites contre Abel et la publiciste Melissa Nathan, les accusant d’avoir orchestré une campagne de diffamation contre Lively, sans son accord. Elle affirme qu’elles tentent désormais de lui faire porter la responsabilité du chaos qui en a découlé.

Le procès déclare : « À ce jour, Abel et Nathan continuent de jeter le blâme sur Jones alors que leurs propres méfaits sont exposés, et elles diffament Jones au sein de l’industrie. » Lively, de son côté, a récemment déposé une plainte auprès du Département des droits civils de Californie, prétendant que Baldoni et ses publicistes ont orchestré une couverture médiatique négative en représailles à ses accusations de harcèlement sexuel sur le plateau.

Dans sa plainte, Lively décrit une série de comportements inappropriés de la part de Baldoni sur le plateau en 2023. Elle indique avoir soulevé ces préoccupations par l’intermédiaire de ses avocats avant la reprise du tournage, qui avait été interrompu en raison des grèves à Hollywood.

Les tensions entre Baldoni et Lively étaient déjà visibles lors de la promotion du film l’été dernier, Baldoni craignant que Lively ou son équipe ne l’accusent de conduite inappropriée. La plainte inclut des échanges de messages texte entre l’équipe de Baldoni, où ils discutaient de la manière de « faire tomber » Lively.

Dans une tournure inattendue, les avocats de Lively ont pu obtenir ces messages en envoyant une assignation à Jones. Abel, Nathan et Baldoni sont représentés par l’avocat Bryan Freedman, qui a récemment menacé de poursuivre Jones pour avoir divulgué le contenu du téléphone d’Abel. Freedman et ses clients n’ont pas encore répondu à la demande de commentaire concernant la plainte de Jones.

Jones affirme avoir « préservé de manière judiciaire » le téléphone d’Abel après son départ de l’entreprise. Elle révèle que ces échanges compromettants ont été découverts, exposant les campagnes de dénigrement menées par Abel et Nathan, qui auraient incité d’autres clients à quitter Jonesworks.

La plainte de Jones évoque des conspirations de plusieurs mois pour quitter la société, voler des clients et ternir sa réputation. Elle accuse Nathan d’avoir encouragé Abel à partir, ce qui lui aurait permis d’accéder plus facilement à ces clients. « Ce stratagème a finalement causé de sérieux dommages à Jones et à Jonesworks », précise la plainte, déposée devant un tribunal de l’État de New York.

Enfin, la plainte allègue que des histoires négatives sur Jones ont été plantées dans les médias, y compris un article dans Business Insider l’été dernier, avec des accusations de violation de contrat, d’ingérence, de violation du devoir fiduciaire et de diffamation.