Kyle Richards et son mari séparé Mauricio Umansky, vedettes de la télé-réalité, ont récemment remporté une victoire juridique dans une affaire les accusant d’avoir détourné plus de 3,5 millions de dollars d’aide gouvernementale. Un juge fédéral a rejeté les accusations contre Mauricio et son associé, William Rose, mais a maintenu les allégations contre leur entreprise, The Agency. Les défendeurs dénoncent ces accusations comme infondées et se battent pour prouver leur innocence.
Un Revers Légal pour Kyle Richards et Mauricio Umansky
La célèbre vedette de Real Housewives of Beverly Hills, Kyle Richards, ainsi que son époux séparé, Mauricio Umansky, ont récemment rencontré un léger obstacle dans un litige les accusant d’avoir détourné « plus de 3,5 millions de dollars des contribuables américains ». Selon des documents judiciaires récents, un juge fédéral a rejeté toutes les accusations contre Mauricio, âgé de 54 ans, et son associé commercial, William Rose, en lien avec les prêts de protection de la paie obtenus par leur entreprise, The Agency, durant la pandémie. Toutefois, le juge a décidé de ne pas annuler les accusations contre The Agency elle-même.
Les Accusations de Fraude et leur Contre-Attaque
Dans son ordonnance, le tribunal a noté que Relator LLC n’avait pas réussi à fournir des allégations spécifiques prouvant que Mauricio et William avaient participé à une quelconque fraude. Le juge a constaté que la plainte ne mentionnait Mauricio et William que sporadiquement, sans lien avec des accusations concrètes de certification frauduleuse dans les demandes de prêts. Relator LLC a poursuivi Mauricio, William, et The Agency, les accusant de « cupidité » en ce qui concerne les prêts PPP, affirmant que l’entreprise, dirigée par eux, avait obtenu ces prêts alors qu’elle n’en avait pas besoin. Un avocat de Relator a déclaré : « C’est une affaire de cupidité pendant une crise de santé nationale. »
Les défendeurs, quant à eux, ont fermement rejeté ces allégations, arguant que Relator fondait ses accusations sur des conjectures et des faits erronés. L’avocat des défendeurs a souligné que Relator n’avait aucune relation antérieure avec eux et ne pouvait donc pas prétendre connaître les circonstances entourant la demande de prêts PPP de The Agency. Il a également critiqué les déclarations de Relator comme étant illogiques et infondées.
La situation reste en cours, avec des représentants de The Agency affirmant leur engagement envers l’intégrité et la transparence pendant cette période difficile. Ils ont l’intention de défendre vigoureusement leur position face à ces accusations sans fondement.