Prime Video a annoncé le lancement de « Paradis City », une série suédoise dystopique inspirée du roman de Jens Lapidus, prévue pour le 7 mars. Composée de six épisodes, elle suit un agent spécial et un ancien combattant de MMA en quête d’un ministre enlevé. Avec un casting de talents, la série aborde des thèmes de polarisation sociale et de ségrégation, tout en promettant une expérience captivante pour les abonnés.
Prime Video Annonce la Date de Lancement de « Paradis City »
Prime Video a officiellement révélé la date de lancement mondiale de sa série suédoise premium, « Paradis City ». Ce thriller d’action dystopique, inspiré du roman éponyme de Jens Lapidus, le créateur de « Snabba Cash », promet une expérience palpitante.
Prévue pour le 7 mars, cette série en six épisodes sera exclusivement disponible sur Prime Video. L’annonce a été faite aujourd’hui, 29 janvier, lors de l’événement TV Drama Vision à Göteborg, où le projet a été présenté comme une œuvre en développement.
Une Production Épique avec un Casting de Talents
Produite par Strive Studios, la société de Jens Lapidus, « Paradis City » met en vedette des acteurs de renom tels qu’Alexander Abdallah (« Snabba Cash »), Julia Ragnasson (« Midsommar », « Blinded ») et Sverrir Gudnason (« Falling », « Face to Face »). La direction est assurée par Fenar Ahmad (« Darkland ») et Alain Darborg (« Red Dot »).
Le scénario a été adapté pour le petit écran par le scénariste principal Björn Paqualin (« Occupied », « Thicker than Water »), en collaboration avec Michaela Hamilton (« A Class Apart ») et Oliver Dixon (« The Lawyer »). L’intrigue se déroule dans un futur proche, où la société suédoise est profondément divisée et où des murs séparent les classes privilégiées des zones considérées comme dangereuses.
La série commence lorsqu’un ministre de l’Intérieur est enlevé par des hommes masqués, plongeant l’agent spécial Fredrika (interprétée par Ragnasson) et Emir (Abdallah), un ancien combattant de MMA, dans une course contre la montre pour sauver le politicien et éviter de perdre la chance de revoir sa fille.
Lapidus décrit cet univers dystopique comme « plus Hell City que Paradis City », soulignant que le titre de son roman porte une ironie qui invite à réfléchir à la réalité de la société actuelle. Selon lui, les murs de « Paradis City » sont une représentation métaphorique de la ségrégation déjà présente dans des villes comme Stockholm.
Les questions soulevées par la série touchent à la manière dont les démocraties occidentales gèrent la polarisation sociale, et si la fin justifie les moyens dans un monde en proie à la violence et à la criminalité.
Ce projet, initialement commandé par Viaplay, a été repris par Prime Video suite à des problèmes financiers rencontrés par le streamer nordique. Le producteur Niklas Wikström Nicasto se montre optimiste quant à l’avenir de la série, qui pourrait potentiellement donner lieu à des suites, tout en étant déjà une œuvre complète en elle-même.
Les équipes de production espèrent que « Paradis City » saura captiver les abonnés grâce à son récit puissant et à son approche unique de la réalité actuelle, tout en enrichissant l’offre de Prime Video dans la région nordique.