Trump a averti son équipe que toute tentative d’assassinat par l’Iran entraînerait une destruction complète. Il a exprimé son intention de reprendre le contrôle de Gaza, insistant sur la nécessité de démolir ses infrastructures. Un plan d’urgence contre une potentielle attaque iranienne est en place. Des accusations récentes portent sur un agent iranien, Farhad Shakeri, suspecté de vouloir éliminer Trump, en réponse à l’élimination du général Soleimani en 2020.
Le président Trump a donné des instructions claires à son équipe : si jamais l’Iran venait à l’assassiner, ils devront faire face à une destruction totale.
Ayant déjà échappé à plusieurs tentatives d’assassinat, Trump a exprimé sa volonté de reprendre le contrôle de la bande de Gaza, qu’il souhaite ‘niveler’ avant de planifier sa réhabilitation.
Il a également précisé que les États-Unis ‘feront ce qu’il faut’ pour assurer la sécurité et la démolition des infrastructures de Gaza, après des décennies de souffrances pour le peuple palestinien.
Face à une question sur les mesures d’urgence à prendre en cas d’assassinat orchestré par l’Iran, Trump a révélé qu’un plan était déjà en place, démontrant une approche proactive face aux menaces.
Il a indiqué : ‘J’ai donné des ordres, s’ils tentent quelque chose, ils seront anéantis, il ne restera rien.’
Depuis plusieurs années, les agences fédérales surveillent de près les menaces émanant de l’Iran envers Trump et d’autres membres de son administration.
En novembre, des accusations ont été portées contre un agent iranien, suspecté d’avoir planifié l’assassinat de Trump, un acte qui aurait provoqué un bouleversement mondial.
Selon les procureurs, cet agent a été chargé de concevoir un plan sur sept jours pour surveiller et éliminer Trump, tout en étant basé à Téhéran.
Farhad Shakeri, un ancien détenu d’origine afghane, a immigré aux États-Unis dans son enfance et a purgé 14 ans de prison pour vol avant d’être expulsé en 2008.
Le gouvernement américain a affirmé que Shakeri réside actuellement à Téhéran, malgré plusieurs échanges téléphoniques avec le FBI.
Dans une plainte déposée à New York, peu après la victoire de Trump sur Kamala Harris, les procureurs ont révélé qu’un membre des Gardiens de la Révolution iranienne avait ordonné à Shakeri de préparer un plan pour éliminer le président élu.
Cette tentative d’assassinat serait une réponse à l’ordre de frappe par drone donné par Trump en 2020, qui a entraîné la mort du général iranien Qasem Soleimani, un personnage influent considéré comme un leader terroriste à l’échelle mondiale.
Soleimani dirigeait le Corps des Gardiens de la Révolution islamique d’Iran, également connu sous le nom de Force Quds.
Les procureurs ont précisé que Shakeri avait d’abord été chargé d’exécuter des missions contre des cibles iraniennes aux États-Unis, avant de se concentrer exclusivement sur Trump.
Ils ont rapporté qu’au 7 octobre, date marquant l’anniversaire de l’attaque terroriste en Israël par le Hamas soutenu par l’Iran, Shakeri avait reçu l’ordre de se focaliser uniquement sur Trump et de soumettre un plan d’assassinat en sept jours.
Cependant, Shakeri a informé les autorités qu’il n’avait pas l’intention de proposer un schéma dans le délai imparti, ce qui a conduit les responsables des IRGC à interrompre le plan.
De plus, Shakeri a prétendu que le gouvernement iranien lui avait indiqué qu’il serait plus facile de tenter d’éliminer Trump après les élections américaines, croyant qu’il ne serait pas réélu.
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Récemment, Trump a annulé la protection de sécurité gouvernementale pour l’ancien secrétaire d’État Mike Pompeo, son conseiller principal Brian Hook, ainsi que pour son ancien conseiller à la sécurité nationale John Bolton.
Chacun de ces hommes a été confronté à des menaces de la part de l’Iran et a adopté des positions fermes contre le régime lors du premier mandat de Trump.