L’UE va frapper Facebook avec de nouvelles accusations antitrust

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Les autorités antitrust de l’Union européenne se préparent à envoyer à Facebook une liste d’accusations pour les abus anticoncurrentiels de l’entreprise américaine sur sa plateforme de marché, ont déclaré à POLITICO deux personnes proches du dossier.

Le géant américain des médias sociaux devra faire face à une communication des griefs de la Commission européenne qui expliquerait comment la société, désormais connue sous le nom de Meta Platforms, pourrait tirer parti de son site de médias sociaux Facebook dans son service de petites annonces connu sous le nom de Marketplace, affirmant que cela équivaut à un abus de position dominante, selon les deux personnes, qui se sont exprimées sous couvert d’anonymat en raison du caractère confidentiel de l’affaire.

Les enquêteurs de l’UE prévoient également de se concentrer sur la manière dont les données obtenues par Facebook auprès de ses annonceurs pourraient être utilisées pour avantager injustement Marketplace par rapport à des services concurrents.

Au cours des dernières semaines, les régulateurs ont lancé des appels urgents aux rivaux de Facebook pour qu’ils soumettent des preuves de l’abus à la Commission afin de déterminer où se produisent les comportements les plus préjudiciables sur le marché de Facebook.

La Commission publiera probablement l’acte d’accusation avant les vacances de Noël, ont déclaré les gens. Les régulateurs antitrust de l’UE enquêtent sur Facebook Marketplace depuis juillet 2021.

C’est la première fois que le géant américain des médias sociaux est dans le collimateur des autorités antitrust du bloc pour un abus de position dominante. Il fait également l’objet d’une enquête sur des accusations similaires au Royaume-Uni.

L’entreprise avait déjà été condamnée à une amende de 110 millions d’euros pour avoir fourni des informations incorrectes ou trompeuses lors de l’enquête de l’UE en 2014 sur le rapprochement de l’entreprise avec WhatsApp. La société fait également l’objet d’une enquête à Bruxelles sur le soi-disant accord Jedi Blue avec Google, qui, selon la Commission, pourrait avoir faussé la concurrence sur le marché des technologies publicitaires.

Les représentants de la Commission et de Meta ont refusé de commenter.

Le numéro de dossier de l’UE est AT.40684.



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