Finn Russell revient alors que l’Ecosse risque tout contre les All Blacks

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Fauberge Russel. Discuter. C’est plus ou moins tout ce que le rugby écossais a fait ces dernières semaines. La discussion, heureusement, s’arrêtera pendant 80 minutes dimanche lorsque le génie mercuriel fera son truc à Murrayfield contre les All Blacks, réintégrés de nulle part au n ° 10. Ensuite, sans aucun doute, le débat reprendra sérieusement, la teneur de celui-ci déterminé par la manière dont le mercure a coulé.

Il y a seulement deux semaines, nous spéculions sur la fin de la carrière internationale de Russell, retiré de l’équipe de Gregor Townsend à un an seulement de la prochaine Coupe du monde. Townsend était un génie mercuriel à l’époque où il jouait, mais il semblait trop clair que lorsque son vif-argent est entré en contact avec celui de Russell, la réaction était devenue toxique. Nous en saurons plus à ce sujet dimanche après-midi à quatre heures.

Lorsqu’il a laissé Russell hors de son équipe pour l’automne, Townsend a cité des notions de forme et de cohérence sur la sortie plus évidente de son indisponibilité pour le premier test contre l’Australie, qui était en dehors de la fenêtre internationale. Ou bien l’autre conspiration favorisée que Russell n’avait pas donné le bon exemple lorsqu’il faisait partie d’un groupe de buveurs après des heures à la suite de la victoire de l’Écosse sur l’Italie aux Six Nations, un délit pour lequel il a apparemment été renvoyé au banc lors du dernier match de championnat de l’Ecosse, contre l’Irlande.

Townsend et Russell ont eu leurs accrochages, mais l’inconvénient de l’excellente forme de Russell à Paris pour Racing 92 a conduit Townsend à ce demi-tour au n ° 10. Adam Hastings a été identifié comme possédant un mélange plus agréable d’art et de discipline, mais il a été blessé lors de la victoire peu convaincante de l’Ecosse contre les Fidji le week-end dernier.

Finn Russell avec l'entraîneur-chef Gregor Townsend à Murrayfield en février.
Finn Russell avec l’entraîneur-chef Gregor Townsend à Murrayfield en février. Ils n’ont pas toujours été d’accord. Photographie: Jane Barlow / PA

Russell est sorti du banc pour le Racing à peu près au même moment et a transformé un déficit à la mi-temps contre Perpignan en une déroute 44-20, récoltant 16 points dans le processus. Ne pas l’avoir appelé dans ces circonstances aurait été une déclaration d’automne.

Mais Townsend n’a pas eu à le catapulter dans la formation de départ. Le penalty manqué de Blair Kinghorn contre l’Australie a coûté la victoire à l’Ecosse, mais l’élégant meneur de jeu a par ailleurs impressionné. Le chemin de moindre résistance aurait pu être de le réintégrer dans la formation de départ.

Guide rapide

Équipes

Spectacle

Écosse S Hogg (capitaine); D Graham, C Harris, S Johnson, D van der Merwe; F Russell, un prix ; P Schoeman, G Turner, Z Fagerson, S Skinner, G Gilchrist, J Ritchie, H Watson, M Fagerson
Remplaçants : E Ashman, J Bhatti, O Kebble, J Hodgson, J Bayliss, G Horne, A Hastings, K Steyn

Nouvelle-Zélande J Barrett; M Telea, A Lienhart-Brown, D Havili, C Clarke; B Barrett, F Christie ; E de Groot, S Taukei’aho, N Laulala, S Whitelock (capitaine), S Barrett, A Ioane, D Papali’i, A Savea
Remplaçants : C Taylor, G Bower, F Newell, T Vaa’i, S Frizell, TJ Perenara, S Perofeta, R Ioane

Merci pour votre avis.

Au lieu de cela, Townsend a amené Russell directement, ce qui a pour effet doublement troublant de donner à l’entraîneur l’air de se contredire et d’offenser Kinghorn, qui souffre depuis longtemps. Ça pourrait être l’étoffe du génie, ça pourrait être une implosion imminente. Un peu comme la relation entre les deux. Un peu comme l’Ecosse.

Si le premier, une première victoire pour les Ecossais sur les All Blacks n’est pas hors de question. La Nouvelle-Zélande n’a plus la même aura d’autrefois, ayant perdu quatre fois cette année. Ils ont bien gagné contre le Pays de Galles le week-end dernier mais ont apporté une série de changements, aucun ne donnant l’impression qu’ils considèrent ce match comme le plus éprouvant de leur tournée.

Mark Telea, l’ailier d’Auckland, fait ses débuts et il y a un nouveau couple au centre de David Havili et Anton Lienert-Brown. Les frères Barrett, Beauden et Jordie, poursuivent leur rotation familière à travers la ligne arrière, cette fois en s’alignant respectivement à l’ouvreur et à l’arrière. Mais les yeux écossais seront rivés sur le demi de mêlée, Finlay Christie.

Après des années à endurer les barbes apparentes des commentateurs rappelant au monde que tel ou tel joueur en bleu n’est peut-être pas né en Ecosse – le syndrome du « grand homme de Wagga Wagga » comme on pourrait l’appeler – les Ecossais s’attendront à de multiples allusions au petit homme de Peebles. Christie est né dans les Borders mais ses parents l’ont emmené en Nouvelle-Zélande à l’âge de sept ans. Puis la pandémie lui a refusé la possibilité de signer pour Glasgow. Depuis lors, il a gravi les échelons des demis de mêlée Kiwi et sortira en noir à Murrayfield devant ces parents très écossais.

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