Le retour des bonnes manières, 1988 | La vie et le style

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La Magazine de l’observateur du 4 septembre 1988 annonçait qu’il n’était « plus sage de s’encanailler, les bonnes manières reviennent à la mode ». Moyra Bremner « rappelle les règles qui vous sauveront du désastre social ».

Bremner a déclaré que « les bonnes manières vous renseignent sur le caractère de quelqu’un, tandis que l’étiquette vous renseigne sur la classe de quelqu’un » et pour ces pois embêtants sur la couverture, son conseil était très précis : « La difficulté d’équilibrer les pois sur le côté convexe d’une fourchette signifie que les fourches se retournent, de plus en plus. C’est maintenant presque acceptable, à condition que ce soit fait avec élégance et que les aliments soient poussés sur le intérieur bord.’

Bremner a aussi fulminé contre frisée. «Ce pilier antisocial du nouveau saladier n’appartient pas à la table civilisée. Il ne peut pas être apprivoisé avec un couteau et une fourchette.

En France, apparemment, «les mères socialement sélectives examineraient leurs futurs fils ou belles-filles en servant des pêches crues au dîner. Quiconque n’en mangeait pas avec l’élégance requise – et un couteau et une fourchette – avait peu de chances d’être accepté.

Une règle d’or était de faire comme vos hôtes, pas comme vous chez vous, « à moins que leurs manières ne soient si affreuses que vous ne puissiez pas aller aussi loin ». Gênant si jamais vous êtes chez David Cameron, connu pour manger un hot-dog avec un couteau et une fourchette.

Une section des «aliments à problèmes» comprenait des asperges («un véritable test de dextérité si elles sont minces et souples») et même du pain («presque le seul moment où vous pouvez utiliser correctement votre pain pour éponger le jus des aliments est lorsque vous mangez des escargots ‘) et un avertissement d’un livre d’étiquette victorien pour éviter de ‘s’embarquer sur une orange’.

Jane Churchill, « spécialiste des tissus d’ameublement pour les maisons de campagne », aurait bien pu écrire à l’époque victorienne lorsqu’elle disait : « J’aime voir les enfants se lever quand un adulte entre dans la pièce ». Mais que se passe-t-il si l’adulte continue à manger ses pois sur le à l’extérieur bord?

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