À la recherche d’une solution pour l’Irlande du Nord, le ministre britannique des Affaires étrangères accueille des pourparlers avec l’UE

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Le ministre britannique des Affaires étrangères James Cleverly cherchera lundi 9 janvier à insuffler un nouvel élan aux pourparlers avec l’UE sur la résolution des différends concernant une relation commerciale post-Brexit lorsqu’il accueillera le vice-président de la Commission européenne Maroš Šefčovič à Londres.

Il y a un optimisme croissant en Grande-Bretagne et dans certaines parties de l’UE qu’une résolution est à portée de main au différend de longue date qui a éclipsé leurs relations depuis que le Royaume-Uni a quitté le bloc il y a trois ans.

Les pourparlers techniques entre responsables ont repris en octobre sur le protocole d’Irlande du Nord, la partie de l’accord sur le Brexit qui imposait des contrôles sur certaines marchandises acheminées vers la province depuis le reste du Royaume-Uni.

Alors que la réunion de lundi entre les politiciens ne devrait pas fournir une percée immédiate, l’espoir est que les derniers pourparlers donneront une impulsion pour accélérer davantage les négociations dans les semaines à venir.

Les pourparlers auront lieu à Lancaster House et le ministre nord-irlandais Chris Heaton-Harris devrait y participer, selon le ministère britannique des Affaires étrangères.

Le protocole d’Irlande du Nord était un élément clé de l’accord sur le Brexit conclu par l’ancien Premier ministre Boris Johnson, mais celui que les premiers ministres britanniques successifs ont refusé de mettre en œuvre.

Afin de préserver l’accord de paix et d’éviter une frontière dure entre l’Irlande et l’Irlande du Nord, la Grande-Bretagne a accepté, dans le cadre de son départ de l’UE, de laisser effectivement l’Irlande du Nord au sein du marché unique des marchandises du bloc.

Cela a nécessité des contrôles à partir de janvier 2021 sur certaines marchandises en provenance du reste du Royaume-Uni.

Mais le gouvernement britannique a cherché à assouplir de nombreuses barrières commerciales depuis l’entrée en vigueur du protocole, ce qui a conduit l’UE à accuser d’essayer de faire marche arrière sur le protocole.



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