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GUWAHATI: Le gouvernement d’Assam a informé le Gauhati HC qu’un comité comprenant le secrétaire en chef de l’État enquêtait sur le bulldozer de la maison d’un résident de Nagaon par la police et que des mesures appropriées seraient prises contre les fonctionnaires errants dans les 15 jours, rapporte Mukut Das. La soumission a été faite mardi devant un banc de division du juge en chef RM Chhaya et justice Soumitra Saïkia qui entendait un suo motu PIL.
Après l’assurance du gouvernement, le HC lui a ordonné de prendre des mesures pour indemniser les personnes affectées par « l’action illégale » et de soumettre un rapport au tribunal. L’affaire concernait l’une des maisons qui ont été rasées après que le poste de police de Batadrava a été incendié par une foule en mai de l’année dernière à la suite du décès d’un vendeur de poisson de 38 ans, Islam Safikul, en garde à vue. Saiful aurait refusé de verser des pots-de-vin à la police pour sa libération.
La police avait déposé un acte d’accusation contre 24 accusés en lien avec l’incendie du poste de police. Au cours de l’enquête, cinq maisons ont été démolies par la police et l’administration le même mois sous prétexte qu’elles avaient été construites illégalement sur des terres gouvernementales. Lors d’une audience en novembre dernier, la haute cour avait reproché à la police d’Assam d’avoir démoli les maisons sans sanction légale.
Après l’assurance du gouvernement, le HC lui a ordonné de prendre des mesures pour indemniser les personnes affectées par « l’action illégale » et de soumettre un rapport au tribunal. L’affaire concernait l’une des maisons qui ont été rasées après que le poste de police de Batadrava a été incendié par une foule en mai de l’année dernière à la suite du décès d’un vendeur de poisson de 38 ans, Islam Safikul, en garde à vue. Saiful aurait refusé de verser des pots-de-vin à la police pour sa libération.
La police avait déposé un acte d’accusation contre 24 accusés en lien avec l’incendie du poste de police. Au cours de l’enquête, cinq maisons ont été démolies par la police et l’administration le même mois sous prétexte qu’elles avaient été construites illégalement sur des terres gouvernementales. Lors d’une audience en novembre dernier, la haute cour avait reproché à la police d’Assam d’avoir démoli les maisons sans sanction légale.
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