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Vers la fin du mois de mai dernier, la loi sur les médias sociaux a été présentée au parlement. Le projet de loi, qui a été adopté par les commissions, devait être finalisé dans les 45 jours, mais il a été décidé de le reporter. Cependant, après l’ouverture du parlement, il est revenu à l’ordre du jour de manière inattendue et à partir de maintenant, l’article 29, qui entraîne une peine de prison de 1 à 3 ans, a été accepté.
31 articles sur 40 ont été acceptés en vertu de la loi sur les médias sociaux !
La loi sur les médias sociaux a été soumise pour la première fois au parlement le 26 mai 2022. Le même jour, il a été décidé d’ajouter le délit de diffusion publique d’informations trompeuses au Code pénal turc n° 5237. Cependant, il a été déclaré que des sanctions pénales seraient imposées aux organismes de radiodiffusion et aux individus qui ne reflètent pas la vérité et diffusent de fausses nouvelles.
Alors que le 28e des 40 articles du projet de loi soumis au vote était en discussion hier soir, le président de la Grande Assemblée nationale de Turquie a mis fin à la séance alors que les protestations des députés se poursuivaient. Aujourd’hui, nous avons continué là où nous nous étions arrêtés et avons atteint le 32e article. De plus, avec l’article 29 accepté, une peine de prison de 1 à 3 ans est venue.
Bien sûr, bien que la loi sur les médias sociaux semble n’affecter que les organisations qui font l’actualité sur Internet, de nombreux journalistes et éditeurs partagent et diffusent leurs actualités sur des plateformes telles que Facebook, Twitter et YouTube. Il convient également de noter que les citoyens sont également impliqués dans le même processus.
Par conséquent, quiconque diffuse de fausses nouvelles ou partage des informations trompeuses sur Internet est condamné à une peine de prison. Il convient de noter que cela inclut les personnes qui ne reflètent pas la vérité ou qui publient des messages manipulateurs sur leurs comptes de réseaux sociaux.
Mais permettez-moi de souligner qu’il y a quelques réserves à ce sujet. Car les lignes rouges de la situation dite des fausses nouvelles n’ont pas encore été déterminées. En d’autres termes, on ne sait pas quelles nouvelles et actions seront incluses ni comment la décision sera prise dans les cas qui restent dans la zone grise.
De plus, il existe une grande incertitude quant à qui déterminera l’incident selon quelle autorité et quels critères, et ce qui sera pris en compte en cas d’action pénale puisqu’il n’y a pas de décision précédente. Pour cette raison, il convient de noter que de nombreux journalistes et citoyens ont exprimé leurs réserves quant à la possibilité de restreindre leur liberté d’expression.
Si vous le souhaitez, vous pouvez regarder notre vidéo connexe en cliquant sur le lien ci-dessous.
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