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Le Kosovo a signalé qu’il était prêt à créer une association de cinq municipalités à majorité serbe dans le nord du pays, afin de débloquer les pourparlers avec Belgrade.
Les critiques disent que cela pourrait donner à la Serbie une main permanente dans la politique du Kosovo, mais c’est un élément clé d’un accord de 2013 soutenu par l’Occident pour finalement normaliser les relations entre les deux pays.
Alors qu’une majorité d’États membres de l’UE reconnaissent le Kosovo comme une nation souveraine, la Serbie refuse de le faire, affirmant toujours officiellement qu’il fait partie de leur territoire.
Le président serbe, Aleksander Vucic, a exhorté les législateurs de Belgrade à accepter les mesures diplomatiques, avertissant que la nation ferait face à de graves conséquences si elles ne le faisaient pas.
« Deviendrions-nous un paria européen ? Oui, nous le deviendrions. Complètement isolés, personne ne nous parlerait. Nous n’aurions accès à aucun financement, vous ne pouvez pas fonctionner seuls dans le monde moderne. »
Cependant, les nationalistes serbes considèrent comme inacceptable toute tentative de reconnaissance de l’indépendance du Kosovo et ont fait part de leur colère à Vucic au parlement.
Plusieurs dizaines de personnes ont également manifesté à Belgrade contre tout accord politique conclu avec Pristina.
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