Bruxelles dévoilée : des documents secrets révèlent des manigances pour affaiblir la souveraineté britannique, tandis que le Sun lance une initiative contre la trahison du Brexit.

Bruxelles dévoilée : des documents secrets révèlent des manigances pour affaiblir la souveraineté britannique, tandis que le Sun lance une initiative contre la trahison du Brexit.

Des documents récemment révélés suggèrent un plan de Bruxelles pour réduire la souveraineté britannique, alimentant les craintes d’une réversibilité du Brexit. Alors que le Parti travailliste envisage un rapprochement avec l’UE, celle-ci exige des concessions sur des sujets tels que la pêche et la migration. Des figures pro-Brexit avertissent que cela pourrait entraîner une nouvelle soumission aux règles de l’UE, renforçant les tensions entre le Royaume-Uni et l’Union, notamment avec des actions judiciaires en cours.

Un nouveau complot de Bruxelles pour affaiblir la souveraineté britannique

Des documents récemment divulgués révèlent un complot de Bruxelles visant à faire renoncer la Grande-Bretagne à sa souveraineté, suscitant ainsi des inquiétudes croissantes quant à une possible réversibilité du Brexit. Alors que Sir Keir Starmer aspire à un « réajustement des relations » avec l’Union européenne (UE), la Commission européenne semble prête à exiger des concessions significatives sur la migration, liant ainsi le Royaume-Uni à nouveau à sa bureaucratie.

En réponse à cette situation, The Sun a lancé une campagne intitulée « Ne trahissez pas le Brexit ». Les partisans du Brexit mettent en garde contre ces plans, qualifiant cela de « tentative furtive » de ramener le Royaume-Uni sous l’emprise de l’UE. Les documents de négociation indiquent que l’UE souhaite obtenir un accès accru à nos eaux de pêche avant même que les discussions ne commencent, ainsi qu’un programme de mobilité pour les jeunes, permettant la libre circulation des moins de 30 ans en échange d’accords sur la sécurité et l’assouplissement des contrôles sur les produits agricoles.

Les conséquences d’une renégociation avec l’UE

Les tentatives du Royaume-Uni d’obtenir un meilleur accès pour ses entreprises de défense sur le marché européen ont déjà été rejetées. Lord Frost, ancien négociateur du Brexit, a prévenu que le prix à payer pour un accord de sécurité avec l’UE serait l’acceptation de ses règles et des décisions de la Cour de justice européenne. Il a affirmé que la négociation du Parti travailliste avec l’UE n’apporterait rien de bénéfique pour la Grande-Bretagne, mais risquerait de la soumettre à nouveau aux exigences de l’Union.

L’UE a déjà clairement indiqué qu’elle ne s’engagerait pas dans des discussions tant que le Royaume-Uni ne céderait pas ses zones de pêche. Lord Frost a souligné qu’il est très probable que le Parti travailliste accepte ces conditions, alimentant ainsi les préoccupations sur une éventuelle perte de souveraineté. De nombreux anciens ministres du Brexit, tels que Jacob Rees-Mogg et David Jones, ont également exprimé leur désapprobation face à ces manœuvres, qualifiant cela de trahison des intérêts britanniques.

Downing Street a tenté de dissocier le gouvernement de ces allégations, affirmant que le Premier ministre souhaite un réajustement qui favoriserait les intérêts britanniques. Cependant, la tension monte alors que l’UE poursuit des actions en justice contre le Royaume-Uni concernant le respect des accords de divorce, ce qui pourrait compliquer davantage les relations entre les deux parties.