« Cérémonie commemorative en hommage aux victimes de l’attentat terroriste le plus meurtrier de Bruxelles »

Commémoration de l’attentat le plus meurtrier de Bruxelles sept ans après

Mercredi matin, la septième commémoration de l’attentat terroriste le plus meurtrier de Bruxelles a eu lieu. Il s’agit de l’attaque du 22 mars 2016 où trois kamikazes ont auto-détonné des explosifs à la station de métro Maelbeek et à l’aéroport de Zaventem, faisant 32 morts et des centaines de blessés. Cette année, lors de la cérémonie à l’aéroport, 17 noms ont été appelés, y compris celui de Shanti De Corte, une jeune femme euthanasiée l’année dernière en raison de sa santé mentale déclinante après l’attaque.

Dans cet article, nous nous pencherons sur les événements liés à l’attentat de Bruxelles, la réponse de l’État et la manière dont les survivants et les familles des victimes ont été affectés depuis.

L’attaque de 2016 : une tragédie inimaginable

Le matin du 22 mars 2016, les Bruxellois ont été pris au dépourvu lorsqu’ils ont appris l’attentat à la station de métro Maelbeek et à l’aéroport de Zaventem. Les kamikazes ont détoné leurs explosifs presque simultanément, faisant des dizaines de victimes. Les autorités ont rapidement bouclé la zone pour des raisons de sécurité, laissant les familles dans l’angoisse en essayant de contacter leurs proches.

Au fil des heures, le bilan s’est alourdi jusqu’à atteindre 32 morts et des centaines de blessés. Les médias ont rapporté les témoignages des survivants, qui ont décrit l’horreur et la confusion qu’ils ont vécues ce jour-là.

Des mois de silence de l’État

Les mois qui ont suivi l’attaque ont été difficiles pour les survivants et les familles des victimes. Ils ont ressenti un manque de réponse et d’aide de la part de l’État, ce qui a laissé des blessures supplémentaires. Les gens ont raconté leur frustration de ne pas avoir été informés des développements de l’enquête, de la lenteur des indemnisations et de l’absence d’un soutien psychologique adéquat.

Les critiques se sont intensifiées lorsque les révélations ont été faites à propos des failles dans l’appareil de sécurité belge avant l’attaque. Les médias ont rapporté comment certains des kamikazes avaient été signalés aux autorités étrangères avant les attaques, mais que ces informations n’ont pas été transmises aux agences locales de sécurité.

L’impact à long terme sur les survivants et les familles des victimes

Sept ans après l’attaque, l’impact sur les survivants et les familles des victimes est toujours tangible. Les gens ont décrit les problèmes de santé mentale qu’ils ont éprouvés depuis l’attaque, comme le trouble de stress post-traumatique (TSPT). Les survivants ont raconté comment ils ont développé des phobies, comme la peur de prendre les transports en commun, et comment cette attaque a modifié leur façon de voir le monde.

Les familles des victimes ont également subi des pertes irréparables, qui ont laissé des cicatrices indélébiles. Ils ont décrit leur douleur et leur frustration de ne pas avoir été en mesure de faire leur deuil en raison de l’immense attention médiatique autour de l’attaque.

Conclusion

La septième commémoration de l’attentat terroriste de Bruxelles du 22 mars 2016 a manifesté la douleur persistante que la ville a subie il y a plusieurs années. Les survivants et les familles des victimes ont décrit un manque de réponse de l’État dans les mois qui ont suivi l’attaque, ajoutant à leur douleur et leur frustration. Les femmes et les hommes touchés par cette tragédie continuent de souffrir physiquement et mentalement des conséquences de cette attaque terrifiante. Néanmoins, la solidarité, la compassion et la résilience des citoyens de Bruxelles continuent de les aider à traverser cette période difficile et à se remettre de cette tragédie.

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