Chloe Fineman révèle sa passion pour les friandises suédoises : « Une partie essentielle de ma vie » (Exclusif)

Chloe Fineman révèle sa passion pour les friandises suédoises : "Une partie essentielle de ma vie" (Exclusif)

Chloe Fineman, comédienne de 36 ans et star de *Saturday Night Live*, évoque le phénomène des bonbons suédois à New York dans son article *My Life in Food* pour *Us Weekly*. Elle a partagé son engouement pour BonBon, une boutique scandinave, devenue virale grâce à FoodTok. Fineman aborde également d’autres plats marquants de sa vie, tels que le poulet rôti de sa mère et son amour pour la cuisine indienne, révélant ses habitudes alimentaires surprenantes.

Les bonbons suédois connaissent un véritable engouement à New York, et Chloe Fineman, star de Saturday Night Live, n’y fait pas exception.

« Il y a un véritable phénomène autour des bonbons suédois à New York », a confié la comédienne de 36 ans dans un article exclusif de My Life in Food publié dans le dernier numéro de Us Weekly. « C’est comme si ces friandises étaient présentées dans un cadre luxueux, à la manière d’une boutique Gucci ou d’un magasin de sneakers Supreme, mais tout cela est dédié à des bonbons. Oui, les bonbons suédois de BonBon font désormais partie intégrante de ma vie. »

En grande partie grâce à FoodTok, BonBon, une enseigne spécialisée dans les friandises scandinaves avec quatre points de vente à New York, a pris d’assaut les réseaux sociaux. Cela a entraîné une augmentation spectaculaire de leurs ventes, passant de 50 commandes en ligne à des milliers.

« Nous avons dû faire venir des bonbons de Suède par avion parce que nos stocks étaient à sec », a déclaré un représentant de BonBon à Today plus tôt cette année.

Au-delà des bonbons, Fineman a aussi des souvenirs culinaires marquants. Découvrez ci-dessous d’autres révélations savoureuses de l’humoriste :

Quel plat spécial votre mère préparerait-elle pour célébrer votre anniversaire ?

Ma mère prépare le meilleur poulet rôti que l’on puisse imaginer, basé sur une recette d’Alice Waters, la fondatrice de Chez Panisse. Nous la vénérons, elle et sa philosophie, dans notre famille. Même si cela peut sembler prétentieux, c’est en fait une des recettes de poulet rôti les plus simples, avec des carottes, des oignons et un succulent poulet rôtis. C’est un vrai délice.

Que choisissez-vous lors d’un premier rendez-vous ?

Je préfère commander quelque chose qui ne contient pas d’ail. J’aime garder les choses mignonnes. Donc, par exemple, des pâtes avec de la sauce tomate serait idéal, quelque chose qui n’affecte pas l’haleine.

Quel en-cas vous passionne en ce moment ?

Il y a un véritable phénomène autour des bonbons suédois à New York. On trouve des présentations aussi élaborées qu’une boutique de luxe, mais tout cela pour simplement des bonbons. Les bonbons suédois de BonBon sont vraiment incontournables dans ma vie.

Si vous deviez choisir votre dernier repas, quel serait-il ?

Oh mon Dieu, ce serait un cornet de crème glacée parfumé au chocolat. C’est mon plat préféré !

Quel plat réconfortant aimez-vous déguster en cachette ?

J’ai une étrange obsession pour les patates douces japonaises, ces patates douces violettes avec un intérieur blanc. Je les mange souvent, mais d’une façon peu délicate, les prenant en morceaux avec mes mains. Je préfère que cela reste un secret !

Avez-vous une recette personnelle ?

J’appelle ça des patates douces cuites deux fois. Je fais cuire une patate douce japonaise pendant longtemps jusqu’à ce qu’elle caramélise et prenne un goût sucré. Je la coupe et la remets au four, pour obtenir de délicieuses pommes de terre caramélisées. C’est presque comme un bonbon, et il suffit d’un peu de sel, pas besoin d’huile d’olive.

Quel plat détestiez-vous durant votre enfance ?

Je me rappelle de ma première expérience avec la cuisine indienne en troisième année, et j’ai été frappée par les épices. Aujourd’hui, c’est ma cuisine préférée au monde !

Y a-t-il un plat indien que vous préférez particulièrement ?

J’adore le chana masala et le poulet tandoori. Je dois admettre que je ne cuisine pas beaucoup à New York, mais je m’efforce toujours d’ajouter une source de protéine dans mes repas.

Reportage par Sarah Jones