Comment le «mouvement des fleurs lentes» pourrait vous aider à être plus vert cette Saint-Valentin

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Penser à montrer votre amour avec un tas de fleurs aujourd’hui?

Il est peut-être temps de réfléchir à l’impact environnemental de votre geste amoureux.

Les fleurs coupées doivent être transportées rapidement dans des camions, des avions et des bateaux réfrigérés afin qu’elles restent fraîches.

Environ 90 % des fleurs commercialisées en Europe sont importées, principalement par voie aérienne, de serres chauffées en Hollande, et plus loin d’Équateur, de Colombie, Kenya et l’Éthiopie.

Avec l’augmentation du coût du chauffage des serres en raison de la crise de l’énergieles importations de fleurs en provenance des pays chauds sont en hausse.

Non seulement l’industrie florale génère un réchauffement planétaire émissionsil expose les pays d’origine à des pesticides nocifs, détourne l’eau des cultures vivrières et a souvent des normes sociales médiocres pour les travailleurs.

D’où viennent les fleurs de l’UE ?

On estime que 250 millions de tiges de fleurs sont vendues sur Saint Valentin dans le monde, selon la British Florists Association. roses et tulipes représentent chacun un tiers de ce total.

En 2016, un quart des fleurs coupées importées par les États membres de l’UE provenaient de l’extérieur de l’UE, principalement du Kenya (38 % des importations d’origine hors UE), de l’Équateur (17 %) et de l’Éthiopie (16 %). selon Eurostat.

Le Pays-Bas est le principal exportateur de fleurs coupées de l’UE, représentant 87 pour cent des exportations des États membres de l’UE.

Au cours des 10 premiers mois de 2016, 84 % des exportations de fleurs coupées des États membres de l’UE provenaient du commerce entre États membres de l’UE. Le pays qui importait le plus de fleurs coupées était Allemagne avec 25 pour cent de toutes les importations de l’UE.

Quelles fleurs génèrent le plus d’émissions ?

Une étude de l’Université de Lancaster réalisée en 2018 par Becky Swinn a enquêté sur la empreinte carbone de la culture et du transport des fleurs. Les transports, le chauffage et la consommation d’électricité sont les principaux coupables.

Il a été constaté que les lys hollandais produisaient les émissions les plus élevées, suivis de la gypsophile kenyane, des roses hollandaises et des roses kenyanes.

Les émissions sont nettement inférieures pour les lys, les mufliers et les alstromerias produits par des floriculteurs commerciaux et à petite échelle au Royaume-Uni.

Il a été constaté que l’empreinte carbone des fleurs importées peut être 10 fois supérieure à celle d’un bouquet cultivé sur place.

Y a-t-il une meilleure façon d’offrir des fleurs ?

L’approvisionnement auprès de fleuristes locaux qui cultivent leurs propres fleurs est un moyen de lutter contre les effets néfastes de l’industrie sur l’environnement.

BelgiqueIl Était Une Fleur est un exemple d’une telle entreprise.

Coté sur l’UE économie circulaire pour ses pratiques environnementales positives, le fleuriste est à la tête de ce qu’il appelle le « mouvement des fleurs lentes ».

Travaillant avec la nature plutôt que de l’exploiter, le fleuriste ne coupe que les fleurs qui serviront aux bouquets achetés, laissant les fleurs invendues au champ pour les insectes et les oiseaux. Les branches et les feuilles d’un jardin local sont utilisées comme paillis pour nourrir et protéger les sol.

Une chaîne d’approvisionnement en circuit court et des partenariats avec des entreprises locales permettent de limiter au maximum le transport des bouquets.

Le fleuriste s’est également associé à Rosemarie Confetti, une entreprise belge qui fabrique des confettis de mariage en séchant des pétales de fleurs invendues.

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