Des accusations criminelles pourraient peser contre Joe Biden, suggérant qu’il aurait retenu des documents classifiés après sa vice-présidence, menaçant la sécurité nationale. Bien que l’enquête ait conclu sans poursuites, son état cognitif et ses réponses lors de l’enquête soulèvent des interrogations. Les documents publiés montrent des contradictions dans ses déclarations, notamment sur le partage d’informations sensibles. Biden se défend en affirmant sa coopération, tandis que Donald Trump critique la décision de ne pas le poursuivre.
Des Accusations Criminelles Contre Joe Biden : Une Enquête Dévoilée
Une nouvelle révélation surprenante suggère que l’ancien président Joe Biden pourrait faire face à des accusations criminelles. À 81 ans, malgré son départ de la Maison Blanche avant l’arrivée de Donald Trump, des questions persistent concernant son état cognitif.
Robert Hur, l’enquêteur en charge, a affirmé que Biden aurait « délibérément retenu et divulgué des documents classifiés » après sa vice-présidence, mettant ainsi en danger la sécurité nationale. Cependant, bien que l’enquête ait abouti, le procureur a décidé de ne pas engager de poursuites, soulignant que Biden avait coopéré et qu’une condamnation serait difficile à obtenir.
Dans son rapport, Hur a noté que lors d’un procès, Biden serait perçu comme un homme âgé et bienveillant, mais avec une mémoire défaillante, ce qui pourrait influencer l’opinion du jury.
Documents Non Expurgés et Mensonges Dévoilés
Les documents récemment publiés révèlent pour la première fois les réponses écrites de Biden durant l’enquête. En avril 2023, il a été questionné sur sa gestion de documents classifiés à son domicile et sur le partage d’informations sensibles avec son écrivain fantôme, Mark Zwonitzer.
Il a été rapporté que Biden aurait menti concernant ces documents, et sa gestion pourrait constituer une infraction pénale. Dans un enregistrement de 2017, il est entendu dire à Zwonitzer qu’il avait « juste trouvé tous les trucs classifiés en bas. » Il aurait également lu certains documents classifiés à voix haute et a admis qu’ils pourraient être classifiés.
Bien qu’il ait ensuite prétendu ne pas avoir conscience de la possession de documents classifiés, il a justifié cela en disant qu’il pensait qu’ils lui appartenaient. Biden a également affirmé : « Je ne me souviens pas avoir partagé des documents classifiés avec M. Zwonitzer, et je ne l’aurais jamais fait intentionnellement. »
Au début de 2024, Biden a abordé le rapport, affirmant qu’il avait totalement coopéré avec l’enquête. Il a souligné son engagement en acceptant un entretien de cinq heures malgré une crise internationale, se disant heureux de voir les distinctions entre son cas et celui de Trump.
Ce dernier a critiqué la décision de ne pas poursuivre Biden, surtout en raison des accusations similaires portées contre lui après sa présidence, auxquelles il a plaidé non coupable.