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Hanovre (dpa / lni) – Le tribunal administratif de Hanovre a rejeté la plainte déposée par un soldat de la Bundeswehr contre son limogeage. Le soldat a été libéré sans préavis par la République fédérale d’Allemagne en janvier 2021. Il s’agit d’un contenu d’extrême droite et anticonstitutionnel qu’il a partagé dans un groupe WhatsApp. Le licenciement immédiat du militaire temporaire est légal, a annoncé mercredi le tribunal.
Selon le verdict, le devoir de service d’un soldat comprend non seulement le devoir de reconnaître l’ordre fondamental libre et démocratique, mais aussi de défendre sa préservation. « L’appartenance de longue durée à un groupe de discussion dans lequel les crimes de la dictature nazie sont minimisés, approuvés et glorifiés, et dans lequel des contenus hautement racistes et discriminatoires sont partagés, est incompatible avec cette obligation », a plaidé le tribunal.
Le militaire a porté plainte en avril 2021. Entre autres, il a fait valoir que les événements du groupe n’étaient pas accessibles à des tiers et n’étaient donc pas de nature à mettre en danger la réputation de la Bundeswehr. Il est attaché à l’ordre fondamental libéral-démocratique et est socialement engagé à bien des égards, a-t-on également dit. Le groupe de discussion était pour lui une expression d’humour noir. Rétrospectivement, il regrette ce qui s’est passé.
Selon le tribunal, cependant, il n’est pas décisif qu’il s’agisse d’un groupe non public. Selon le raisonnement, la probabilité que la violation du devoir devienne publique et que la réputation de la Bundeswehr soit sérieusement mise en danger est suffisante.
En octobre 2020, le bureau du militaire a été informé qu’il était membre d’un groupe WhatsApp dans lequel des images, des mèmes et des vidéos au contenu immoral, raciste et pornographique étaient partagés. Une recherche du téléphone portable du soldat l’avait prouvé.
© dpa-infocom, dpa:221109-99-446073/3
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