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Ja Elizabeth Banks de Hunger Games est un choix inattendu en tant que muse de cette comédie dramatique canadienne, adaptée du roman de Michael Kun, pré-médias sociaux, sur l’obsession d’un ouvrier du logiciel triste avec Heather Locklear – qui, pour être honnête, était plus avant -et-centre que Banks dans l’air du temps de son époque. Le film doux du premier réalisateur Scott Abramovitch est moins un regard sur le fandom de l’ère numérique qu’une introduction affable sur l’acceptation de votre propre banalité.
Sid Straw (Tony Hale) poursuit son travail de vice-président du marketing dans une entreprise de génériques, saluant/se noyant sur la scène des rencontres de la quarantaine et irritant sa belle-sœur Janet (Elisha Cuthbert de 24 ans) avec sa perkiness. . Ainsi, lorsqu’il est appelé à organiser une réunion universitaire, il espionne une occasion en or de renforcer sa position : en persuadant sa célèbre amie Elizabeth Banks d’y assister. Il commence à laisser des messages sur sa page Facebook, partageant à outrance sa vie personnelle et signant invariablement avec « Mangez des blés ! » ; l’adieu spécial que la future star hollywoodienne crierait à l’équipe de volley-ball.
Mais le malheureux desk-jockey ne se rend pas compte que les messages sont publics. Alors que la vie professionnelle de Sid se déroule, Hale prévient ce qui aurait pu être un empilement satirique avec une attention habile aux nerfs et un désir de plaire derrière la moustache tombante. Il est aidé par la caractérisation pointilleuse d’Abramovitch, peut-être héritée de ses origines littéraires ; il y a des détails vécus partout, y compris une scène de messagerie vocale qui rappelle Swingers, dans laquelle les tentatives mains libres de Sid d’appeler « Kate, My Girlfriend » se retrouvent dans « Ray’s Skate Land ».
Il y a une sorte de bravoure à ce que Sid reste un gars toujours gentil, même quand son monde s’effondre et qu’il fait appel aux services d’un avocat débraillé (Paul Walter Hauser). Mais peut-être que lui donner des traits plus sombres, un soupçon d’obsession de harceleur, aurait poussé la comédie de Dear Elizabeth dans quelque chose de plus radicalement drôle, au lieu d’être simplement amusant. La direction de la sitcom l’entraîne plus loin dans la direction de la complaisance, mais Hale et l’écriture ciblée lui assurent une intégrité bienveillante.
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